COMMENT SE MARIER SELON MALACHIE 4

 

 

INTRODUCTION



Bien-aimés jeunes gens et jeunes filles chrétiens, au travers de ce travail sur « COMMENT SE MARIER SELON MALACHIE 4 ou LES ÉTAPES DU MARIAGE SELON MALACHIE 4, » nous avons voulu aborder un sujet très important. En effet, depuis le commencement, précisément depuis la chute de l’homme en Eden jusqu’à une époque récente, c’est-à-dire, où Dieu nous a envoyé un prophète, d’épaisses ténèbres couvraient la question. Dieu, bien entendu, jetait à chaque portion de temps un peu de lumière pour que les élus sachent comment se comporter. La pleine lumière sur le mariage, résultat des prophéties se rapportant à notre temps, éclaire amplement et renseigne suffisamment les élus du dernier âge dans l’approche spirituelle du mariage.

 

William Marrion Branham nous dit dans « Mariage et Divorce » § 88  : « Dieu nous a donné un remède et une façon d’épouser nos femmes et de vivre avec elles, mais l’homme ne veut pas accepter Sa Parole à ce sujet.» Jésus a dit ceci ; cela nous rappelle ce qu’il en est de Ses Paroles sachant qu’Il a dit : « Les cieux et la terre failliront, passeront, mais les Miennes ne failliront pas. »



Puisse le Saint-Esprit Lui-même vous éclairer davantage.

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Témoignage de frère W.M. Branham sur le Mariage, y compris le sien.

 

1        L’HISTOIRE DE MA VIE – Los Angeles, 19.04.1959

 

Page 21, § 1 … L’une des meilleures choses que Dieu puisse donner à un homme est une épouse. En dehors du salut, une femme est la meilleure chose, si c’est une femme droite. Si ce n’est pas le cas, Salomon a dit : « Une épouse est joyau sur la couronne d’un homme, mais une femme dépravée ou une femme mauvaise c’est de l’eau dans son sang. » C’est vrai. C’est la pire chose qui puisse arriver. Ainsi, une femme bonne … Si vous avez reçu une bonne épouse, frère, vous devez la respecter du mieux que vous le pouvez. C’est vrai, vous devriez faire cela. Une vraie femme ! Et les enfants, si vous avez une vraie mère qui reste à la maison et qui essaie de prendre soin de vous, gardant vos habits propres, gardant vos vêtements propres, vous envoyant à l’école, vous enseignant au sujet de JÉSUS, vous devez respecter cette femme, certainement c’est une vraie mère.


2         JEHOVAH JIREH – 7 juillet 1962


§ 15 J’espère que chaque jeune ici présent, quand il va se marier, trouvera une épouse et qu’ils vivront aussi heureux que mon épouse et moi pendant ces 22 ans de mariage que nous avons vécus.

§ 16 « Celui qui a trouvé une épouse a trouvé le bonheur » comme dit Salomon: « une bonne épouse est un joyau de la couronne d’un homme. Celle qui est impie est semblable à l’eau dans son sang. » Et le sang de l’homme, c’est sa vie. Une impie est la pire chose qu’il puisse avoir. Et celle qui est pieuse est la meilleure qu’il puisse avoir en dehors du salut. Si Dieu pouvait donner à un homme une chose meilleure qu’une épouse, Il la lui aurait donnée puisque Dieu ne donne que des bonnes choses à Ses enfants et IL lui a donné une bonne épouse et j’en suis reconnaissant.


3        TOURNEZ LES REGARDS VERS JÉSUS – 29.12.1963 § 137

… Je ne crois pas qu’il puisse y avoir une meilleure épouse au monde que la mienne, j’espère qu’elle restera toujours ainsi. Et je veux être un mari fidèle et j’espère que chaque jeune homme dans ce bâtiment, quand il se mariera aura une épouse comme la mienne. Je ne sais pas combien de temps nous vivrons comme cela,  mais j’espère que ce sera pour le reste de nos jours sur la terre. Nous avons été très heureux ensemble.

C’est Dieu qui m'a dit de l’épouser au moment même (elle ne le savait pas) où j’essayais de ne pas l’épouser. Non, parce que je ne l’aimais pas, mais parce que je ne pensais pas lui donner de quoi vivre, et qu’elle était brave, je ne méritais pas cela. Et elle se mit à prier et ouvrit sa Bible… Elle dit : « Seigneur, je n’ai jamais fait ceci auparavant mais donne-moi un passage de l’Ecriture qui m’aidera. Si je dois l’oublier, je le ferai. » Elle ouvrit la Bible, elle reçut Malachie 4 « Voici, Je vous enverrai Elie le Prophète. » C’était il y a 20 ans alors qu’elle ne savait rien du ministère de ce jour.


Et j’étais couché là-bas, au bord de la rivière, lorsqu’une nuit, IL me réveilla. Je L’entendis là près de la porte, Il dit : « Va et prends-la, ton mariage sera le 23 octobre prochain. » C’est exactement ce que j’ai fait. Nous avons vécu heureux. Par la grâce de Dieu, nous n’avons jamais eu une parole de dispute… Elle a été un amour.

 

RÉFÉRENCES BIBLIQUES :


1.      GENÈSE 2 : 18 – 24 « L’Eternel Dieu dit : il n’est pas bon que l’homme soit seul ; Je lui ferai une aide semblable à lui. L’Eternel Dieu forma de la terre tous les animaux des champs et tous les oiseaux du ciel, et Il les fit venir vers l’homme, pour voir comment il les appellerait, et afin que tout être vivant portât le nom que lui donnerait l’homme. Et l’homme donna des noms à tout le bétail, aux oiseaux du ciel, et à tous les animaux des champs ; mais, pour l’homme, il ne trouva point d’aide semblable à lui. Alors l’Eternel Dieu fit tomber un profond sommeil sur l’homme, qui s’endormit. Il prit une de ses côtes, et referma la chair à sa place. L’Eternel Dieu forma une femme de la côte qu’Il avait prise de l’homme, et Il l’amena vers l’homme. Et l’homme dit : Voici cette fois celle qui est os de mes os et chair de ma chair ! On l’appellera ‘femme’ parce qu’elle a été prise de l’homme. C’est pourquoi, l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et ils deviendront une seule chair. »

 

2.      MATTHIEU 19:5-6 ... “Et qu’Il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ainsi, ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. »



Question posée à frère Branham :


QUESTIONS ET RÉPONSES N° 2 – 29.08.1964 P. 9, § 39, Q/n° 36 :

 

TRÈS URGENT. FRÈRE BRANHAM, SACHANT QUE LE TEMPS TIRE A SA FIN, ET QUE L’ÉTERNITÉ PREND PLACE, QUE CONSEILLERIEZ-VOUS A UN COUPLE QUI PROJETTE LE MARIAGE ?

Rép. : - Allez de l’avant et mariez-vous. Voyez-vous ? Continuez simplement comme si vous alliez vivre encore une centaine d’années sur cette terre. Allez tout simplement de l’avant ; gardez vos cœurs fixés sur Christ et non sur les choses du monde ; voyez-vous ? Allez-y, mariez-vous, enfants. Que Dieu bénisse votre mariage.



LA SOIF – 19.09.1965, p. 16, § 73


C’est comme un jeune homme et une jeune fille. Maintenant, ce n’est pas inutile ou non (je veux dire), anormal, pour un jeune homme et une jeune femme de s’aimer l’un et l’autre. C’est une soif d’amour. C’est de leur âge, et ils s’aiment l’un l’autre. Et ce n’est pas anormal, c’est juste une chose naturelle pour eux de faire cela. »

 



I. QU’EST-CE QUE LE MARIAGE ?


*… LE MARIAGE EST UNE RÉVÉLATION ; LA PAROLE DE DIEU EN DEFINIT CLAIREMENT :

 

- L’UNION INVISIBLE, 25/11/1965, § 60

Le Mariage est la plus vieille institution du monde. Le Mariage eut lieu et fut institué pour la première fois au jardin d’Eden.


- MARIAGE ET DIVORCE, 21/02/1965, § 285

« Ce que Dieu a uni qu’aucun homme ne le sépare. » Pas ce que l’homme a uni ; ce que « DIEU » a uni ! Quand vous avez une RÉVÉLATION DIRECTE de Dieu comme quoi, c’est là votre femme, et vice-versa, c’est la vôtre pour le reste de la vie. Voyez ? …


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, page  23, § 106

Remarquez, le premier Adam de Dieu n’a pas pu choisir sa femme. Il n’avait pas un choix à faire. Dieu lui en fit une, il n’avait pas à la choisir. Ainsi nous voyons qu’elle l’éloigna de la Parole de Dieu. Il n’avait pas prié au sujet de cette question. IL N’EN EST PAS DE MÊME POUR VOUS ET MOI. LUI N’AVAIT PAS DE CHOIX.. ..




Est-il permis de se marier dans ce monde ?

 

 

Comme nous parlons du Mariage selon la volonté parfaite de Dieu, voyons maintenant quel genre de fille ou quel genre de garçon peux-tu envisager prendre en mariage…

 

Et Frère Branham répond :

 

- SOYEZ CERTAINS DE DIEU, 25/01/1959, P. 3, § 5-8

Et puis, lors de son mariage, au lieu d’épouser quelqu’un parmi son peuple, il alla épouser une pécheresse, une idolâtre qui adorait les idoles. Il épousa Jézabel. Et elle n’était pas une croyante.

Et jamais un croyant ne devrait épouser un incroyant ; en AUCUN CAS. On devrait toujours se marier entre croyants.

Mais Achab avait fait cette mauvaise chose. Et Jézabel était sans doute une belle femme.

Et lui s’était fait séduire par son apparence ; plutôt que par ce qu’elle était vraiment. C’est… Tant de gens commettent cette même erreur encore aujourd’hui.

Et elle avait introduit l’idolâtrie dans la nation, parmi le peuple. Et le peuple… les prêtres, les ministres avaient succombé à cette revendication populaire.


- L’INVASION DES ETATS-UNIS, 9/05/1954, §45 et 47

Achab était plus ou moins ce genre de personnes. Partout où soufflait le vent, Achab y mettait son voile ; que ce soit de ce côté-ci ou de ce côté-là. Son mariage avec une petite princesse, Jézabel, une fille de roi, le rendit complètement embrouillé. Elle était belle d’apparence, une très jolie femme, mais méchante dans son cœur. Elle était idolâtre et entraîna tout Israël.

Mais Achab, maintenant je suppose qu’il tomba amoureux d’elle seulement parce qu’elle était jolie et l’épousa. Il ne pouvait être attiré par autre chose puisque méchante comme elle l’était… Et elle vint là-bas. Bien sûr qu’il fut épris d’elle de cette manière là et l’aima. Oh, il entraîna tout Israël à pécher et à se détourner de Dieu, à renverser les autels de Dieu et à dresser des autels pour Baal.


- ET TU NE LE SAIS PAS, 15/08/1965, § 85-88

Regardez les enfants de Caïn, comme ils sont tombés dans le panneau : « Quand les fils de Dieu virent que les filles des hommes étaient belles, ils en prirent pour femmes », et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

Regardez, quand les femmes israélites avec – avec leurs mains calleuses et leurs cheveux raides comme des cordes ; quand les fils de Dieu sont passés par le pays de Moab, et qu’ils ont vu les femmes coquettes de là-bas, toutes bien coiffées, bien arrangées, et avec la figure pleine de manucure ou de ce machin, là ; quand ces fils de Dieu ont vu ces très belles femmes, un faux prophète a dit : « On est tous pareils. »  Et ils se sont mariés avec, et Dieu ne le leur a jamais pardonné.

Ils ont péri dans le désert. Chacun d’entre eux est mort là, sans espoir, sans Dieu, et ils sont éternellement perdus ; damnés à jamais, bien qu’ils aient vu la bonté de Dieu, bien qu’ils aient bu à la fontaine intarissable. Ils avaient bu au Rocher frappé. Ils avaient vu le serpent d’airain accomplir des miracles. Ils étaient sortis du baptême de Moïse dans la mer. Ils avaient vu la main de Dieu. Ils avaient mangé de la nourriture d’anges, et fait toutes ces choses. Mais ils s’étaient mariés avec les femmes de là-bas, ils s’étaient laissés prendre par elles, et ils s’étaient mariés. Ils n’avaient pas commis adultères, ils s’étaient seulement mariés avec elles ; Dieu ne leur a jamais pardonné ça.


C’était la deuxième fois que ça arrivait. Maintenant, nous en sommes à la troisième fois, maintenant c’est plus trompeur que jamais.


- HÉBREUX Chap. 3 , 01/09/1957, §173

Un jeune homme qui se marie et qui épouse une fille qui ne croit pas ; une jeune fille qui épouse un garçon qui ne croit pas… Il ne devrait pas le faire ! Peu importe combien il est mignon et… ou elle est mignonne, et combien grands sont les yeux qu’elle a, ils finiront tous par se fermer, un de ces jours. Mais, mon frère, votre âme vivra éternellement ! Vous devrez prendre garde à ce que vous faites. Si elle n’est pas une vraie croyante ou lui n’est pas un vrai croyant, ne vous mettez pas sous pareil joug. Eloignez-vous des pareilles choses, elles vous causeront des ennuis le long du chemin.


- HÉBREUX chap. 7#2 222/09/1957, § 357-361

[Frère Branham donne ici un exemple d’une fille de son assemblée qui fréquentait un garçon mondain (païen) et se lia à lui] …

Une certaine jeune-fille ici, il n’y a pas longtemps… Ceci n’est pas une plaisanterie, car je ne raconte pas ceci en guise de plaisanterie. Et les gens savent que ceci n’est pas un endroit pour plaisanter. Mais une chère petite fille ici, elle était… il y a de bons garçons ici, des garçons chrétiens. Il y a longtemps, quand j’étais pasteur ici, nous avions l’habitude d’avoir… des classes simplement pour des jeunes hommes. Et je parlais aux jeunes filles le dimanche après-midi, au sujet du sexe et des choses semblables. Et puis, le dimanche après-midi suivant, je parlais aux jeunes gens, et j’essayais de maîtriser ces choses. Une certaine chère fille a commencé à sortir avec un certain petit gringalet, ici en ville, qui fumait des cigarettes et avait un flacon d’alcool dans sa poche, et il conduisait une petite voiture décapotable à travers les rues de la ville. Je ne pouvais pas comprendre ce qu’elle a bien trouvé dans ce garçon. Il ne voulait pas venir à l’église. Et il restait assis là-dehors ; il l’amenait à l’église et il s’asseyait là dehors, dans sa voiture et attendait ; il ne voulait pas entrer dans l’église. Un jour, j’ai dit à cette fille… Elle habitait à New Albany… J’ai dit : « Je vais te demander quelque chose, petite. Qu’est-ce que tu peux donc bien trouver à ce garçon-là ? »

J’ai dit : « Premièrement, il hait la religion même que tu as. Il méprise Ton Christ. Il ne fera jamais un mari pour toi, te rendra misérable toute ta vie. » Et j’ai dit : « Alors qu’il y a tous ces braves jeunes garçons chrétiens que tu pourrais fréquenter, et ils sont… Ton papa et ta maman n’aiment pas du tout te voir sortir. Mais tu y vas de toute manière et tu penses : J’ai le bel âge : 16 ans !

Elle a commencé à se maquiller et à courir, et avant qu’elle ne s’en aperçoive, elle était dans les boîtes de nuit. Elle est dans l’éternité maintenant. Mais alors, elle se tenait ici et savez-vous quelle raison cette jeune fille m’a donnée alors, d’aimer ce garçon ?  Elle a dit : « Il a de si mignons petits pieds, et il sent si bon !»  Pouvez-vous imaginer cela ? Il se parfumait ; ça c’est une femmelette, pas un homme !

« Ecoutez, ai-je dit, Sœur, je préfèrerais aller avec un garçon chrétien qui aurait des pieds comme des wagons à gravier et qui sentirait comme un putois, si c’était un vrai chrétien. » C’est vrai.  Oui, c’est vrai ! Oh, cette excuse : « de si mignons petits pieds, et il sent si bon ! » Le petit coureur de boîtes de nuit. Finalement, il a ruiné la vie de la fille. C’est une honte. Ignoble ! »

 

- REGARDANT A L’INVISIBLE, 03/10/1958, § 11-12

Maintenant, « l’homme ne vivra pas de pain seulement» a dit le Seigneur, « mais de toute Parole qui sort de la bouche de Dieu. » Et l’homme, être humain physique, prendre soin de cet être physique cela n’est pas la seule raison pour laquelle Dieu l’a placé sur la terre. Parce que ce qu’il fait avec son être physique signifie très peu de choses. C’est son âme qui compte. C’est l’homme intérieur qui ne provient pas de la terre, il vient du ciel, et c’est la partie éternelle de l’être humain.

Mais pourtant, il est étrange qu’il essaie d’arriver à comprendre sa propre voie. Et nous trouvons cela tellement dans les Ecritures ; que quand un homme choisit de marcher dans sa propre voie et de faire ce qui lui semble bon, Dieu l’abandonne tout simplement… L’homme ne doit pas penser de lui-même, mais il doit laisser la Pensée qui était en Christ être en lui. Nous ne devons pas penser de nous-mêmes. Nous devons considérer toute autre chose contraire à ce qu’IL a dit, comme si cela n’existait pas, peu importe ce que nos yeux déclarent être. Nous ne vivons pas de ce que nous voyons ; nous vivons de ce que nous croyons.

Il y a de cela quelques jours, j’étais en train de suivre un programme à la radio, venant d’une école du dimanche et c’était une discussion autour d’une table avec les adolescents de Louisville. Un – quelle en était l’une des choses les plus importantes : C’était pour une jeune fille de trouver un garçon aux cheveux bouclés (frisés) ou pour le garçon, la fille avec de beaux yeux bleus ou bruns ? Est-ce que cela fait une différence ? ça semblait comme si cela aurait été la plus grande chose pour un adolescent. Mais cela n’est pas la plus grande chose. [  La plus grande chose, c’est de trouver votre Dieu, votre Créateur.

Ne contractez pas de mariage mixte. Mariez-vous à un garçon qui croit juste exactement comme vous le faites, car, après tout, Dieu est la chose principale pour Laquelle nous sommes sur la terre et le plus important est de Le servir. Et si vous vous mariez à quelque chose de contraire à cela, vous paierez pour cela dans les jours qui sont devant vous. Vous devez toujours vous rappeler, que c’est par la foi et non par la vue. Le juste vivra par la foi. Et nous regardons à l’invisible.]


ET LE PROPHÈTE VA PLUS LOIN DISANT QUE L’ON NE DOIT SE MARIER QU’AVEC UN GARCON OU UNE FILLE NÉ(E) DE NOUVEAU, ET NE PAS PRÊTER ATTENTION A L’APPARENCE EXTÉRIEURE

 

DEUX CRITÈRES SONT OBLIGATOIREMENT EXIGÉS :


-          LA NOUVELLE NAISSANCE ET

-          S’IL (ELLE) A ÉTÉ FAIT(E) POUR TOI.

 

- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, §35b, 37

Et je pense que nous devrions… Un homme qui a du bon sens et qui planifie un futur, devrait choisir cette femme très soigneusement ; soyez prudent dans ce que vous faites. Et une femme qui choisit un mari ou qui accepte le choix d’un mari, devrait être très prudente dans ce qu’elle fait, et surtout en ces jours-ci. L’homme devrait bien réfléchir et prier avant de choisir sa femme.

Et nous voyons que si l’homme et la femme priaient à ce sujet, - plutôt que de considérer ce beau regard des femmes ou cette carrure des épaules d’hommes ou à d’autres choses de ce genre, toute autre affection charnelle, mais s’il regardait d’abord à Dieu pour Lui demander : « O Dieu, est-ce là Ton Plan ? »


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, §47b, 49

… Pouviez-vous imaginer qu’un chrétien puisse agir de la sorte ? Non, monsieur, je ne le pense pas. Un véritable chrétien ne cherchera pas de telles reines de beauté, des chanteuses de cabarets et des reines du sexe. Il cherchera un Caractère Chrétien. Or, vous ne pouvez avoir toute chose. Il se peut qu’il y ait une jeune fille très jolie, et une autre peut-être est une… la stature de celle-là peut sembler meilleure que celle de cette autre. Il se peut que vous sacrifiez l’une pour l’autre. Mais si elle n’a pas la stature d’une dame, d’une femme, elle… peu m’importe qu’elle soit jolie ou non, vous feriez mieux de regarder à son caractère, qu’elle soit jolie ou non.

Maintenant… Car il est convenable que si un chrétien voudrait choisir une femme, il devrait choisir une femme véritablement née de nouveau. Sans prêter attention à ce qu’elle peut ressembler, c’est ce qu’elle est qui la définit. Et de plus, cela reflète son propre caractère divin, ce qui est dans sa pensée et qui va être sa famille dans le futur – les enfants qui seront élevés par une telle femme, - pour un futur foyer. …


- PARADOXE, jeudi soir, 01/08/1963, Chicago.

(Frère Branham racontant ici l’histoire d’un jeune homme et d’une jeune fille qui sortaient ensemble ‘qui étaient en fréquentation’ mais, ne pouvaient aller jusqu’au mariage à cause de leurs caractères diamétralement opposés… les parents du garçon trouvèrent Fr. Branham, et, ce dernier, étant prophète dit ce qui suit, du 16ème paragraphe au 31ème) :

 

§18 : Par exemple, il y a quelques jours passés, j’étais appelé sur une scène ou sur un petit quelque chose qui se passait. Il y avait un excellent jeune homme, un garçon très bien, il sortait avec une petite fille, une très excellente petite fille d’une excellente famille. et ce garçon tout d’un coup, s’est présenté avec un genre d’idée, et il s’est juste levé et est parti. Il a fait quelque chose de mauvais à la petite fille, et autant qu’il lui a promis de faire une certaine chose et alors il ne l’a pas faite. Et au lieu de venir chez la fille s’excuser, comme un gentleman le ferait, cela n’était simplement pas en lui de le faire.


§31 : J’ai dit : « Cela peut être très bien, tous ces gestes extérieurs. Il se peut qu’il soit identifié un croyant avec les croyants. Mais jusqu’à ce qu’il soit régénéré, né de nouveau, je conseillerais à ce jeune homme de ne jamais épouser une femme. Il fera l’enfer pour elle sur la terre, jusqu’à ce que ce Gentil et Doux Esprit de Christ Qui pardonne entre. Alors, ce sera un Paradoxe en soi, enlever la nature même d’un garçon reproduit entre le père et la mère. Et cependant, dans son mental il essaie de vaincre cela. Il ne peut pas le faire. Il ne le vaincra jamais. Christ aura à le vaincre. Quand il laisse Christ entrer, alors il a déjà vaincu. Ce sera un Paradoxe lorsqu’un homme est né de l’Esprit de Dieu.

CE N’EST PAS PAR LA BEAUTÉ EXTÉRIEURE, MAIS PAR UN POINT D’ATTACHE SÛR, UN ABSOLU, … ET FRÈRE BRANHAM D’AFFIRMER QU’IL N’Y A QU’UN SEUL MOYEN DE FAIRE UN BON CHOIX.


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, § 105b

Maintenant, voici le seul moyen de faire un bon choix : d’abord, regardez au caractère, et ensuite, si vous l’aimez, très bien.


- QUESTIONS ET RÉPONSES n°2, 23/08/1964, soir, § 63

Et la même chose s’applique aux femmes. Vous prenez une de ces femmes aux visages fardés, avec ses yeux hagards ressemblant à une sorte d’animal, et qu’à force de se défigurer, n’a plus l’apparence d’un être humain, et ne fera jamais rien de bon. Elle va courir tout le temps. Et le Christianisme n’est pas la beauté de l’extérieur mais celle de l’intérieur : une parure de paix, de quiétude, un esprit paisible et doux, ce qui est d’un grand prix devant le Seigneur. C’est ce que nous désirons trouver dans la femme, dans l’homme et chez n’importe qui.

 

- ET TU NE LE SAIS PAS, 15/08/1965, §84

Est-ce que vous pouvez examiner une femme dans la fleur de l’âge, belle, un beau physique, de belle forme, un beau profil, un beau visage, une beauté ; et le fait même qu’elle est jolie montre qu’on est au temps de la fin. Voyez, elle a tout misé sur les apparences du monde, les choses du monde, au lieu de la beauté de la sainteté, de la douceur de l’âme. J’ai vu des femmes qui n’avaient pas grand chose pour attirer les regards à l’extérieur, mais parlez-leur une fois, parlez avec elles pendant quelques minutes, elles sont vraiment authentiques, quelque chose d’attachant. Vous voyez, la beauté de l’extérieur, c’est du diable, c’est du monde.


- ABSOLU , 30/12/1962, P.10, § 58

Lorsque vous vous êtes mariés, vous avez dû faire un retour en arrière dans votre pensée. Jusqu’à ce que vous atteignez ce poteau d’attache. Et ce devrait être l’amour pour votre femme ou votre mari. Eh bien, peut-être qu’elle n’est pas aussi jolie que la femme de John ; eh bien, elle n’est … ceci ou cela… mais il y a quelque chose en elle qui vous frappe.

Vous dites : « Il se peut qu’elle ne soit pas aussi jolie que l’autre », ou « Il se peut qu’il ne soit pas aussi beau que l’autre », mais il doit y avoir un absolu là, qui fait que cette personne soit différente de l’autre. Et c’est à cela que vous vous accrochez. Et si cela n’est pas là, vous feriez mieux de ne pas vous marier ; s’il n’y a pas ce poteau d’attache, cet Absolu.

- LA STATURE DE L’HOMME PARFAIT, P. 8, § 6

C’est juste. Et, avant qu’un homme se marie, il devrait réfléchir à ces choses, étudier la question.

Un jeune homme m’a demandé l’autre jour : « Frère Branham, pensez-vous que je devrais épouser telle et telle jeune fille ? J’ai dit : « quelle importance a t-elle pour vous ? » Il a répondu : « Oh, là là ! Qu’est-ce que je l’aime ! » J’ai dit : « Eh bien, si vous ne pouvez pas vivre sans elle, alors vous feriez mieux de l’épouser. Mais si vous pouvez vivre sans elle, vous feriez mieux de ne pas le faire. Mais, si vous risquez d’en mourir, vous feriez mieux d’aller de l’avant et de vous marier. « Donc ce que j’essayais de lui faire comprendre, c’était ceci : c’est que, si vous l’aimez tellement … Eh bien, en ce moment, avant d’être mariés, tout est bien, tout est beau, mais une fois mariés, le labeur et les épreuves de la vie commencent. C’est à ce moment-là que vous devez être tellement amoureux que vous vous comprendrez l’un l’autre. Quand elle vous décevra ou que vous la décevrez, vous continuerez à vous comprendre.


FRÈRE BRANHAM NOUS DONNE UN BEL EXEMPLE DU VRAI AMOUR


- CHRIST RÉVÉLÉ DANS SA PROPRE PAROLE, 22/08/1965, §36 – 37b

 

J’ai passé cette semaine à la campagne chez de très chers amis. Et hier, tandis que nous étions à table en train de manger, j’ai demandé à certains d’entre eux… nous avons l’habitude de rester à table et d’avoir ensemble une petite… genre de petite étude de la Bible. Nous parlions au sujet de l’amour. Et une certaine personne m’a dit … il a dit : « Je crois que vous êtes un antichrist. »

J’ai dit : « Il y avait quatre ou cinq jeunes hommes qui étaient là, avec leurs épouses, de braves femmes ; je les ai regardés. Je savais combien ces garçons aimaient leurs épouses, aussi leur ai-je dit … J’ai dit : « Voici la façon de mesurer la chose. Si votre épouse, avant que vous soyez mariés… maintenant, retournez en arrière : disons que cette vie conjugale… vous aviez rêvé que vous étiez marié. Vous n’étiez pas vraiment marié ; vous avez seulement rêvé que vous l’étiez. Au réveil, vous êtes allé en parler à votre petite amie, disant : « Tu sais que j’ai rêvé que nous étions mariés, que nous avions des enfants, et que nous étions heureux et… et dans l’attente de la venue du Seigneur, et tout.

Et ensuite, cette fille vous dirait : « Tu sais, j’aime un autre homme plus que toi. Je serai plus heureuse avec cet autre homme. » Pourriez-vous, du fond du cœur, l’aimer assez pour dire : « Que les bénédictions de Dieu reposent sur toi, ma chérie. Va avec cet autre homme ? » Maintenant, vérifiez bien cela chacun de vous, les hommes et les femmes aussi. Voyez-vous ? Si votre amour est conforme à ce qu’il doit être, c’est ce que vous feriez, car vous vous intéressez à son bien-être. Vous savez qu’elle pourrait être à vous, que vous pourriez vivre avec elle, que vous… elle est votre épouse, ou plutôt « elle le serait, elle accepterait de se marier avec vous – mais elle ne serait pas heureuse. » Elle serait plus heureuse… et si vous l’aimez, alors vous désirez son bonheur. Par conséquent, quelle que soit la volonté de Dieu, que la Volonté de Dieu soit faite, que cela fasse mon bonheur ou pas…


Ceci est pour montrer le vrai amour afin de ne pas mal interpréter la citation de la Stature de l’Homme  Parfait (ci-dessus), car, dans cette même référence, le prophète s’était lui-même bien expliqué.

Et enfin, la réponse de savoir si lui ou elle a été fait(e) pour toi, tu la trouveras dans la rubrique : « Fréquentations »



II.  LES ÉTAPES DU MARIAGE



NOTONS, EN PREMIER LIEU, QUE FRERE BRANHAM EN ÉTABLISSANT UNE COMPARAISON DE NOTRE MARIAGE AVEC CHRIST, FAIT RESSORTIR DIRECTEMENT LE MARIAGE NATUREL QUI EST L’IMAGE DU MARIAGE SPIRITUEL. VOICI CE QU’IL DIT A CE SUJET DANS :



- MESSIEURS, NOUS VOUDRIONS VOIR JÉSUS, 4/03/1964, § 16

« Toutes ces choses sont des attributs de Dieu de sorte qu’à la fin, la Bible a dit, Jésus a dit : « Vous connaîtrez que je suis dans le Père, le Père en Moi. Moi en vous, et vous en Moi. » C’est Dieu qui devient tangible. Votre propre femme, vous et votre mari, c’est seulement une ombre, un négatif de Dieu et son Epouse à Lui, L’Eglise. Vous voyez, c’est seulement l’Attribut de Dieu qui est montré par des ombres et des types, comme l’Ancien Testament en était du Nouveau. Voyez ? Alors, à la fin, tout cela se rejoint, Dieu tangible. Dieu en Christ, tangible, fait Chair, qui a habité parmi nous. Et dans ce glorieux Millénium à venir, Dieu sous la forme de Christ est assis sur le trône de David ; et l’Eglise, Son Epouse, le Mari et la Femme ensemble.


1)     Les prÉ-fianCailles


C’EST UNE TRES PRÉCIEUSE ETAPE DE VIE QUI PRÉCEDE LES PROMESSES (VŒUX) DU MARIAGE. EN D’AUTRES TERMES, C’EST LA PERIODE DE FRÉQUENTATION. LE JEUNE HOMME ET LA JEUNE FILLE S’ENGAGENT COMME AMIS, S’ÉTUDIENT MUTUELLEMENT, SANS POUR AUTANT S’ENGAGER DÉFINITIVEMENT, C’EST-A-DIRE SANS FAIRE DE VŒUX. CAR LES VŒUX INTERVIENNENT NÉANMOINS A LA FIN DE CETTE PÉRIODE DES AMITIÉS.


Telles sont les affirmations du prophète W.M. Branham, nous prouvant que les pré-fiançailles (fréquentations ou amitiés) sont scripturaires :


- LE CHOIX D’UNE ÉPOUSE, 29/04/1965, § 40b

« … Et l’homme peut ruiner sa vie entière s’il fait un mauvais choix. Et s’il a fait un mauvais choix ou s’il s’est marié avec une femme qui n’est pas faite pour lui, bien que le sachant, il ne pourra que s’en prendre à lui-même, ce sera sa faute. Et si une femme prend un époux, un homme qu’elle sait être incapable d’être un bon mari, ce sera tant pis pour elle, ce sera sa propre faute, car avant de s’unir, elle savait le pour et le contre. Ainsi, avant de s’engager définitivement devant Dieu, qu’elle prie et qu’elle implore l’aide de Dieu.




- QUESTIONS ET RÉPONSES  n°4 , 30/08/1964 ? § 73


FRÈRE BRANHAM, À QUELLES ACTIVITES NOS JEUNES ENFANTS DEVRAIENT-ILS PARTICIPER ? AUSSI, COMMENT DEVRIONS-NOUS FAIRE POUR LES AIDER À CHOISIR LEURS AMIS ?


Réponse : Gardez-les, autant que possible en compagnie des chrétiens. Gardez-les avec… Si c’est une fille, gardez-la avec des jeunes filles chrétiennes ; si c’est un garçon, avec des jeunes garçons chrétiens.  SI ELLE EST ASSEZ AGÉE POUR FRÉQUENTER UN GARÇON, VEILLEZ À CE QU’ELLE FRÉQUENTE LE GENRE CORRECT DE GARÇON. AUTREMENT, DÉCOURAGEZ-LA DE FRÉQUENTER N’IMPORTE QUEL AUTRE GARÇON, OU LE GARÇON VIS-À-VIS D’UNE FILLE. SI ELLE FRÉQUENTE UN INCROYANT, ESSAYEZ DE L’ENCOURAGER A FRÉQUENTER UN CROYANT ET VICE-VERSA. RENDEZ VOTRE FOYER AGREABLE. FAITES DE VOTRE DEMEURE UN ENDROIT OU VOTRE FILLE OU BIEN VOTRE GARÇON N’AURONT PAS HONTE D’AMENER LEURS AMIS DEVANT LEUR PÈRE ET LEUR MÈRE, ET DANS LEUR MAISON ; ET RENDEZ VOTRE FOYER SI HEUREUX QU’ILS SE PLAIRONT À RESTER À LA MAISON.


- ÉVANGELISATION DU TEMPS DE LA FIN, 3/06/1962, § 138

… Je n’ai pas cette intention. Mais si vous laissez un… soyez sûr avec qui votre fille sort le soir. Voyez-vous ? Peut-être que vous l’avez élevée comme une simple petite fille allant à l’église, et la première chose que vous apprenez, c’est qu’elle sort avec Oswald ou quelques- uns de ceux-là et c’est soit un athée, soit un incrédule, et sa vie finira par être ruinée et vous ne savez pas ce qu’il est. Voyez-vous ? Ensuite, il se mariera avec elle et regardez, où sont alors vos enfants, vos petits enfants, voyez-vous ?


- LES OINTS DU TEMPS DE LA FIN, P. 8, § 35

George Smith, le garçon qui sort avec ma fille


Voyons aussi quelques expériences du prophète W.M. Branham, prouvant qu’il est passé lui-même par-là.


- ÉTAT PRÉSENT DE MON MINISTERE, 8/09/1962, §4

Cela fait à peu près 32 ans, que le Seigneur Jésus, à moins de cent cinquante mètres de l’endroit où je me tiens maintenant, ici, à Jeffersonville, dans la Eight and Penn Street, le matin où je posai la Pierre d’Angle de ce tabernacle, qui n’était à l’époque qu’un marécage… (et j’habite juste en face ici à ma gauche. C’était avant que je me marie. J’habitais chez mon père et ma mère.) que le Seigneur Jésus m’avait révélé le matin où la pierre d’angle devait être posée, assez tôt vers 6 heures. Et j’étais resté dans mon lit un moment… Je n’étais alors qu’un tout jeune garçon. Et ce jour-là, je … « LA JEUNE FILLE AVEC QUI JE SORTAIS, QUI ALLAIT BIENTÔT ÊTRE MA FEMME, L’ANNEE SUIVANTE, SERAIT AVEC NOUS LE JOUR OU NOUS POSERIONS LA PIERRE ANGULAIRE. »


- L’HISTOIRE DE MA VIE, 19/04/1959

P.19, § 3 Puis je me rappelle en allant plus loin, je suis devenu un jeune homme (je vais me dépêcher pour terminer dans le peu de temps qui me reste.) Quand je suis devenu un jeune homme, j’ai eu des idées comme tout jeune homme, allant à l’école, j’avais rencontré des jeunes filles. Vous savez, j’étais réellement timide. Et finalement, j’ai eu une petite amie comme tous les jeunes garçons aux environs de quinze ans, je pensai…

P.24, § 2 Plus tard, j’ai rencontré une fille, quand j’eus 22 ans, elle était mignonne, c’était une fille qui allait à l’église luthérienne allemande, son nom était Brumbach : B-r-u-m-b-a-c-h, cela vient du nom Brumbough. Et c’était une gentille fille. J’allais avec elle un certain temps et alors j’avais environ 22 ans.

P.24, § 3 Je n’ai jamais fait partie de cette église (assemblée) mais j’aimais aller avec elle ; parce que ma principale pensée était « d’être avec elle », je ferais aussi bien d’être honnête.

P.24, § 4 Ainsi bien avec elle, et un jour, j’ai… Elle était d’une bonne famille. et j’ai commencé à penser : « tu sais, tu sais, je ne devrais pas prendre le temps de cette fille. Ce n’est pas juste,  parce que c’est une gentille fille et je suis pauvre et je… »



- L’EAU TOUJOURS PRÉSENTE DU ROCHER, 23/07/1961, § 72


C’est comme une affaire d’amour. Si vous sortiez avec une jeune fille simplement parce que vous savez que c’est un devoir, ou si vous sortiez avec un garçon quand vous étiez jeune... «Maman veut que je sorte avec ce gars-là, mais je ne peux pas le supporter», vous ne recevez rien lorsqu’il vient vous voir. C’est la même chose par rapport à la fille vis-à-vis du garçon ou par rapport au garçon vis-à-vis de la fille. Vous allez avec elle, mais elle vous ennuie. Maman veut que vous alliez avec elle parce que c’est le genre de fille que maman aime. Voyez-vous, cela vous ennuie, il n’y a point d’amour. Mais vous ne vous souciez pas de cela. Vous ne voulez pas vous laver, vous ne voulez pas aller la voir, et c’est un... Oh, c’est quelque chose d’horrible. Et lorsqu’il vient vous voir, oh, la la! vous souhaitez qu’il se dépêche et qu’il retourne chez lui.

 

- LA VISION DE PATMOS, 04/12/1960, § 248-251

J’ai une petite histoire à vous raconter au sujet de ma femme (elle est assise là-bas au fond). Je lui ai fait passer des moments difficiles avant que nous ne soyons mariés, et j’ai essayé de compenser cela après notre mariage. Je ne savais pas si je devais me remarier ou non, et cela l’avait brisée. Je pensais qu’elle était une fille trop bonne pour moi, et qu’il valait mieux la laisser épouser un brave homme qui prendrait soin d’elle. Je pensais que je n’en étais même pas digne ; je ne suis pas digne de sa bonté de toute façon. Cela lui déchirait le cœur. Et elle ne savait que faire. Il y a une vingtaine d’années de cela. Elle était tellement brisée, qu’elle pleurait nuit et jour. Je voulais rompre, non pas parce que je ne l’aimais pas, mais parce que je ne voulais pas lui prendre son temps ; je voulais la laisser trouver quelqu’un, quelque brave homme, parce qu’elle était une trop bonne fille pour continuer comme cela, et je ne voulais pas la tenir plus longtemps. Je pensais qu’elle m’aimait, et moi, je savais que je l’aimais. Je pensais donc : « Eh bien, je vais prendre rendez-vous avec une autre fille et sortir avec elle, afin qu’elle ait de mauvais sentiments à mon égard. » Par la suite, j’ai détesté ce que j’ai fait. Elle en fut toute brisée. Je l’appelai et lui ai dit : « Tu es une trop bonne fille, je ne veux pas prendre ton temps comme cela. »

Mais elle me répondit : « Mais c’est toi que j’aime, Bill ! Tu es le seul que je puisse aimer. Je t’ai toujours aimé. »

« Je t’en suis reconnaissant, mais tu sais, lui dis-je, je suis un ermite. Je vis vraiment comme un ermite. Tu vois, il n’est pas question que je me marie.

Elle y tenais tellement, vous savez, la pauvre petite ! Elle se rendit dans la grange. Elle s’y rendit et se mit sur ses genoux, et dit : « Seigneur, je ne sais pas quoi faire. Je ne veux pas Te désobéir, et pourtant, j’aime Bill et je ne sais pas quoi faire. Seigneur, voudrais-tu me donner un peu de consolation ? Veux-tu m’aider un tout petit peu ? Je ne t’ai encore jamais demandé cela dans ma vie, Seigneur, et j’espère que je n’aurai jamais à Te le redemander, mais si Tu veux m’aider, je vais ouvrir ma Bible et Tu vas me donner un verset. J’ai entendu certains dire que Tu faisais cela. » Et, quand elle L’ouvrit, c’était sur Malachie 4 : « Voici, Je vous enverrai Elie, le prophète, avant que le Jour de l’Eternel arrive, ce Jour grand et redoutable. »


- LE COMPTE A REBOURS, 9/09/1962, P.7, § 36

Prenons par exemple le mariage en tant qu’union, nous voyons cela, le mariage, nous voyons le… le temps qu’il y a pour faire la cour, puis le temps des fiançailles, puis le mariage, alors, cela est établi pour toujours…


- LES NOCES DE L’AGNEAU, 21/01/1962, § 53 et 63

Maintenant, le mariage dans un sens est un type… le mariage terrestre ici est un type du Mariage Céleste. Maintenant, allons-y pendant quelques instants pour le répéter dans un moment. La première chose qu’il y a, il doit y avoir une décision à prendre.

La première chose qu’il faut dans le mariage naturel, est une décision qui doit être prise. La jeune femme doit prendre sa décision si elle veut de ce jeune homme ; et le jeune homme, s’il veut de cette jeune femme. Il doit y avoir une décision à prendre, et vous devez la prendre. Elle doit être la seule femme au monde que vous aimez, et il doit être le seul homme. Si ce n’est pas le cas, alors vous avez pris une mauvaise décision.

Maintenant vous voyez, d’abord, la décision doit être prise, puis c’est l’engagement, puis la promesse, et ensuite la cérémonie. Et c’est lorsque l’épouse prend le nom de l’époux. Elle n’a plus alors, elle n’a plus son propre nom ; elle prend le nom de l’époux.


NOUS CROYONS QU’AVEC CES QUELQUES CITATIONS PARMI TANT D’AUTRES, NOUS AVONS COMPRIS ENSEMBLE QUE LE MARIAGE COMMENCE PAR UN TEMPS DE FRÉQUENTATIONS (Les amitiés ou pré-fiançailles), OU LE JEUNE GARCON ET LA JEUNE FILLE SE COTOYENT MUTUELLEMENT, CHERCHANT LA VOLONTÉ PARFAITE DU SEIGNEUR, SACHANT QUE CHACUNE DES PARTIES EST LIBRE DE SE RETIRER SI CELA N’EST PAS DANS L’ABSOLUE VOLONTÉ DE DIEU.


LES PRE-FIANCAILLES ETANT DONC UNE PÉRIODE DE PRIERES ET D’ÉTUDES, D’OBSERVATION… ET … VOUS NE POUVEZ PAS EPOUSER QUELQU’UN QUE VOUS NE CONNAISSEZ PAS ET EN QUI VOUS N’AVEZ PAS CONFIANCE.



- QUESTIONS ET RÉPONSES SUR LE SAINT-ESPRIT, 19/12/1959, § 36

Pourquoi avez-vous épousé votre femme ? Vous avez foi en elle. Vous l’avez mise à l’épreuve, vous l’avez observé, vous saviez d’où elle venait, qui elle était. C’était ainsi avec l’Ecriture de Dieu.



- LE LIEU D’ADORATION POURVU PAR DIEU, 25/04/1965, § 201

… Un homme doit avoir confiance en la femme qu’il veut épouser, car, certainement, il n’aura pas mal de difficultés. Vous devez avoir la foi en cela.


VOUS NE POUVEZ AIMER QUELQUE CHOSE QUI NE SOIT PAS DE VOTRE NATURE ET QUI SOIT RÉELLEMENT UN COPAIN OU UNE COPINE , EN EFFET UNE PARTIE DE VOUS-MEME.


- L’AGNEAU ET LA COLOMBE, 5/08/1965, § 64-65

Alors Dieu, Qui désirait dut créer quelque chose d’aimable. Il dut créer quelque chose de gentil comme Lui-même. Il dut créer quelque chose qui soit selon Sa propre nature. Vous ne pourriez pas aimer quelque chose qui ne soit pas de votre nature. L’Amour doit s’unir à l’amour.

… Vous cherchez partout, essayant de trouver une fille que vous puissez aimer et qui deviendra votre femme ; elle cherche partout, essayant de trouver un mari qui puisse l’aimer.



- L’INVASION DES ETATS-UNIS, 9/05/1954, § 46b

Et lorsqu’un homme désire se marier, le genre de fille ou de femme… c’est plus que de ne regarder qu’à la beauté. VOUS DEVRIEZ TROUVER QUELQU’UN AVEC QUI VOUS UNIR, ET L’AME ET LE CORPS ; QUELQU’UN QUI SERA VRAIMENT VOTRE AMIE ET VOTRE COPINE, QUI S’UNIRA ENTIEREMENT ET INTIMEMENT AVEC VOUS.



- LA SEMENCE DU SERPENT, 28/09/1958, P. 17, § 113- 116a

Et la femme est simplement une partie de l’homme, un produit dérivé. La femme n’était pas dans la création originale. Ça faisait déjà des années et des années que Dieu avait arrêté de créer, quand IL a formé la femme à partir d’une côte prise de son côté. Adam avait déjà donné des noms à toute la création, à tout le reste, mais pour lui-même il n’y avait rien. Alors, IL lui fait une aide. Il a pris une côte de son côté et a refermé la blessure et IL lui a fait une aide. Et l’homme dans son esprit, il était à la fois homme et femme.

 

ET LA FEMME EST SIMPLEMENT UNE PARTIE DE L’HOMME. ET QUAND UN HOMME PREND UNE ÉPOUSE, ET SI VRAIMENT ELLE EST SON ÉPOUSE, UNE ÉPOUSE DONNÉE PAR DIEU, ALORS ELLE SERA POUR LUI TOUT COMME UNE PARTIE DE LUI.


Voilà la raison pour laquelle il y a tant de problèmes dans les mariages.

Vous devriez d’abord prier parce que la femme fait une partie de vous.


- LE PARENT RÉDEMPTEUR, 20/10/1960, § 47

Et lorsqu’un homme aime une femme parce qu’elle est seulement jolie, il y aura une fin à cela. Mais lorsqu’un homme trouve une femme qu’il aime, il ne sait pas pourquoi, et il l’aime. Et elle trouve l’homme qu’elle aime, peu importe à quoi il ressemble, il l’aime, elle l’aime. C’est un Couple dans la gloire. Ce… ni rien d’autre ne peut les séparer. Parce qu’ils viennent de l’Eternité, et ils ont marché dans l’espace des temps et ils retourneront dans l’Eternité. L’Eternité est entrée dans un corps appelé « Temps ». Ensuite, Elle rentre juste dans l’Eternité à nouveau. Elle ne peut périr.

Une femme qui est belle, cette beauté disparaîtra aussi sûrement… donne-lui quelques-années…


- JEHOVAH JIREH #1, 2/04/1964, § 113

Et quand Adam et Eve, au départ tout était en Adam. Dieu prit une côte de son côté et forma une femme, et IL retira l’esprit féminin d’Adam et le mit dans la femme.


- JEHOVAH JIREH #3, 4/04/1964, § 162

C’est comme au commencement, en Eden, où « Adam ». Voyez-vous ? Et lorsqu’ils furent séparés pour être éprouvés, qu’arriva-t-il ? Eve fut déchue de la Parole ; c’était la Parole. Adam la suivit pour la racheter, mais il ne pouvait pas. Il n’était pas digne de la racheter. (Cf. aussi Corinthiens, Livre de corrections)


PENDANT LA PÉRIODE DES PRÉ-FIANCAILLES (fréquentations ou amitié), LE JEUNE HOMME OU LA JEUNE FILLE DOIT VEILLER A TOUT CE QUI EST DIT PRÉCÉDEMMENT. ET C’EST BIEN APRES QUE VIENNENT LES FIANCAILLES. MAIS AVANT D’ENTRER DANS LES FIANCAILLES, IL Y A EN PREMIER LIEU, LES PROMESSES ( les vœux ) ; OR, AVANT D’ARRIVER A CETTE ETAPE, LE JEUNE HOMME OU LA JEUNE FILLE DOIT ÊTRE SÛR(E) DE CE QU’IL (ELLE) ENTREPREND.

LE PROPHETE W.M. BRANHAM DECLARE CECI DANS LE MESSAGE INTITULÉ :


- LA FOI PARFAITE, 25/08/1965, § 127-128

Tenez , c’est comme pour un jeune couple. Vous prenez un jeune homme et une jeune fille qui tombe amoureux l’un pour l’autre. Alors qu’ils vont de l’avant et commencent à mieux se connaître, leur cœur commence à battre à l’unisson. Voyez-vous ? Pourtant, ils ne sont pas encore mari et femme. Leur amour les lie et ils ont confiance l’un à l’autre. Maintenant, ils s’aiment vraiment, s’ils s’aimaient vraiment…. Et si vous savez que cette fille vous aime et si elle sait que vous l’aimez, vous avez confiance, vous avez foi l’un en l’autre. Si vous ne l’avez pas, vous feriez mieux de ne pas vous marier.


Vous devez donc avoir foi, et si vous les séparez, et que vous en mettiez l’un à l’extrême sud et l’autre à l’extrême nord, ils auraient cet amour l’un pour l’autre. Ils sont aussi fidèles l’un à l’autre que possible parce qu’ils s’aimaient…


EN VOICI UN EXEMPLE :


- LES NOCES DE L’AGNEAU, 21/01/1962, § 93-96

Et il y avait une certaine école ; et c’est cette école que ce… ce groupe de jeunes américains fréquentait. Et presque tous agissaient de la même façon, sauf une certaine petite fille qui ne tolérait pas du tout cela. Elle ne sortait pas. La nuit, quant tout le monde sortait pour boire, elle lisait. Un jour, elle travaillait sérieusement. Eh bien, elle était la risée de toute l’école. Elle regardait comme une dame, elle se comportait comme une dame. Bien qu’il y ait eu là de jeunes garçons romains et d’autres qui essayaient de la convaincre de sortir, elle refusait. Non, monsieur. Elle restait accrochée fermement à ses leçons, apprenant à dessiner et à peindre. Elle s’en tenait à cela.


Finalement, un vieux concierge de la place, qui ne cessait de l’observer, a remarqué qu’elle était très différente, bien qu’il fut un catholique romain, il ne cessait de l’observer, comment elle se comportait. Un soir, la jeune fille était dans le parc où se trouvait l’atelier, ou plutôt à l’endroit où se trouvait l’école. Elle était sortie du campus, et elle gravit la colline et se dirigeait vers son sommet, et le soleil se couchait. Et elle se tenait là avec son visage joli et propre, et ses cheveux qui lui descendaient sur le dos, elle regardait de l’autre côté, vers le soleil couchant.


Le vieux concierge était en train de ratisser là-bas dans la cour et ne cessait d’observer la fille. Pendant qu’il ratissait, quelque chose ne cessait de lui dire d’aller lui parler. Il déposa son râteau et, ayant enlevé son chapeau à larges bords, il se dirigea là où se trouvait la jeune fille ; et il s’éclaircit la voix. Elle se retourna. Il dit : « excusez-moi, mademoiselle. »

Elle dit : « Oui, Monsieur, je vous en prie ? »

Et il remarqua qu’elle pleurait. Ce soir-là tous les autres étaient sortis pour une grande fête. Il dit : « Mademoiselle, j’espère que vous n’allez pas me prêter de mauvaises intentions, parce que je vais vous parler. » Il dit : « Maintenant, ça fait presque deux ans depuis que vous êtes ici. Et j’ai remarqué que le groupe avec lequel vous êtes venu sort tout le temps pour aller aux fêtes, et ils reviennent à n’importe quelle heure de la nuit, ivres, et à moitié nus, et tout. Mais j’ai remarqué que vous ne prenez pas part à ces fêtes.

Et il dit : « Je – je remarque, sans doute, que vous êtes toujours en train de regarder au-delà de la mer. Le soir, vous montez ici, et vous vous tenez debout ici chaque soir, et vous regardez le soleil se couchant. » Et il dit : « A quoi cela est-il dû ? » Il dit : « Je suis un vieil homme. Et je – je suis curieux de savoir ce qui vous différencie des autres. »


Elle dit : « Oui, monsieur. Elle dit : « Monsieur, je regarde en direction de notre pays, quand le soleil se couche. » Elle dit : « De l’autre côté, là au-delà de ce soleil, se trouve un pays. » Elle dit : « Dans ce pays-là, il y a un certain Etat. Et dans cet Etat, il y a une certaine ville. Et dans cette ville, il y a une certaine maison. Et dans cette maison là, il y a un certain garçon. » Et elle dit : « Il est aussi artiste. Quand je suis partie de là pour venir ici, je lui ai promis mon amour. Nous nous sommes fiancés. » Et elle dit : « Qu’importe ce que font les autres, cela ne me dit rien. » Elle dit : « J’ai promis de rester fidèle et juste. » Et elle dit : « Je désire ardemment voir ce jour où je me sentirai sur les ailes de ce grand avion-là qui m’amènera de l’autre côté de la mer et me déposera à l’aéroport, où il m’attendra. Il est en train de construire une maison, et nous vivrons ensemble là, dans ce pays-là. » Et elle dit : « C’est la raison pour laquelle je me comporte de la sorte. Je suis fidèle à la promesse que je lui ai faite. » Et elle dit : « Je reçois de ses nouvelles de temps en temps et je lui écris. » Et elle dit : « Dans notre correspondance, nous gardons nos vœux, en attendant le jour où nous nous rencontrerons. » (…)


N.B. : Bien que dans cet exemple, les deux avaient déjà conclu les vœux, mais nous voulons seulement faire remarquer l’amour qui liait les deux.


AINSI , SI LES DEUX PARTIES EN ARRIVAIENT A CE NIVEAU, ELLES POURRAIENT ALORS SCELLER LEURS FIANCIAILLES, SINON, ROMPRE LEURS AMITIÉS (FRÉQUENTATIONS).


LE COMPORTEMENT A AFFICHER PENDANT LA PÉRIODE DE PRÉ-FIANCAILLES


- QUESTIONS ET RÉPONSES N °3, 30/08/1964 (matin), § 304-305

Avez-vous trouvé cela, Frère Neville ? De quoi s’agit-il ? Je ferais mieux de m’en aller maintenant, parce que cela fait trop tard, voyez-vous ? 7, 9 … Voyons un peu. « Mais s’ils manquent de continence, qu’ils se marient, car il vaut mieux  se marier que de brûler. »

Très bien, cela est pour une vie de souillure, lorsqu’un homme ou un garçon ou une fille ou quelqu’un d’autre, sortent ensemble et qu’ils savent qu’ils devraient se marier, qu’ils aillent de l’avant et qu’ils se marient. Je pense que vous – vous comprendrez ce que je vais dire. N’est-ce pas ? Voyez-vous ? Ne continuez pas à vivre une vie impure, à ce moment-là, car ce n’est pas juste. Voyez-vous. C’est votre sœur dans un sens, si vous êtes un chrétien.

Maintenant, si c’est le monde, ils s’entredévorent. Mais cette jeune fille avec laquelle vous sortez, c’est votre sœur aussi. Ce sera la mère de vos enfants qui viendront. Ne vivez pas une espèce de vie impure, montrez-lui que vous êtes un gentleman chrétien. Vivez comme un gentleman chrétien doit le faire. Voyez-vous ? Et traitez-la comme votre sœur. Et lorsque vous serez marié, traitez-la toujours de cette façon-là.


LE LIEU D ’ADORATION POURVU PAR DIEU, 25/04/1965, § 201

« Ne saviez-vous pas qu’un homme qui embrasse une femme est moralement obligé de la marier ? Potentiellement, c’est un acte sexuel. Certainement que cela l’est. Oui, monsieur. Qu’est-ce ? Ce sont les glandes mâles qui sont dans les lèvres de l’homme et les glandes femelles. Quand les glandes mâles et femelles se rencontrent, c’est sexuel.


- LA SEMENCE DU SERPENT , 28/09/1958, § 116b

« …Et si vous avez serré une femme contre votre poitrine et que vous l’avez prise pour épouse, et que vous… Elle laisse une empreinte sur vous. Nous allons le dire comme cela afin que vous compreniez


26/02/2010
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LE GRAND PRÊTRE DE NOTRE CONFESSION

LE GRAND PRÊTRE DE NOTRE CONFESSION

… Vous êtes un chrétien parce que vous croyez que vous êtes un chrétien. Et la question est réglée parce qu’il est un Grand Prêtre… Ce que vous confessez, c’est ce que vous êtes. Aucun homme ne peut vivre plus loin ou plus haut que ce qu’il croit vivre. Prenez un homme qui parle tout le temps du fait de boire : il parle de la boisson, il pense à la boisson ; il tombe directement dans cette catégorie, il devient un ivrogne
(Le Ministère expliqué, 11 juillet 1950)

Quand j’avais des problèmes d’estomac, si graves que les médecins m’avaient envoyé chez Mayo… Je L’ai accepté sur cette Ecriture : « Il est le Grand Prêtre de ma confession. » J’ai dit : « Je refuse de témoigner autre chose que ce que Dieu dit. Je crois Sa Parole. »
Jésus est mort pour nous guérir.  Chacun de vous est guéri. Chacun de vous est guéri maintenant même. Jésus vous a déjà guéri, vous devez simplement le confesser et le croire. C’est vrai. Par Ses meurtrissures vous avez été (au temps passé) guéri. C’est alors qu’Il l’a fait, au Calvaire. C’est comme une table dressée, c’est là. La seule chose que vous ayez à faire est de croire. Vous devez l’accepter, le croire dans votre cœur et le confesser. Et Il est le Grand Prêtre de votre confession.
(Expectatives, 10 août 1950)

Si vous croyez dans la guérison et si vous croyez que Dieu vous a guéri, confessez-le et Dieu fera que votre corps obéisse à votre confession, car Il est le Grand Prêtre de votre confession ; assis maintenant à la droite du Père avec Son propre Sang pour faire intercession sur n’importe quelle confession pour n’importe qu’elle chose pour laquelle Il est mort. Et Il est mort pour ôter le péché ; et la maladie est le résultat du péché. « Il a été blessé pour nos transgressions, par Ses meurtrissures nous avons été guéris. » Souvenez-vous-en. Ayez foi ! Ne chancelez pas. Demeurez ferme.
(Attitude et Qui est Dieu, 15 août 1950)

Il ne peut rien faire pour nous à moins que nous confessions d’abord qu’il l’a fait et que nous agissions sur cette base. « Quelle que soit la chose que vous désiriez (C’est Jésus qui parle), quand vous priez, croyez que vous la recevez. » Ce sont les ordres…
Je ne pourrais pas aller au Ciel avec ma justice. (…) Dieu ne la recevra pas, mais il recevra la justice de Son Fils. Et si nous croyons en Lui, comme l’Ecriture le dit, nous croyons qu’Il est et nous Le confessons, Il fera œuvrer la justice en nous.
(la Foi sans les œuvres est morte, 22 août 1950)

Que celui qui est faible dise : « Je suis fort. » Dites simplement dans votre cœur : « Maintenant, je suis fort. J’ai accepté Jésus comme mon Guérisseur », et n’ayez jamais plus de témoignage négatif, croyez le simplement et Dieu est dans l’obligation, ou Jésus-Christ est assis à la droite du Père pour vous accepter ; car Il est assis là, le Grand Prêtre de votre confession pour accomplir devant le Père tout ce pour quoi Il est mort, et que vous confessez qu’Il a fait. Vous y voilà. La guérison Divine ne peut pas être plus claire. C’est pour le plus faible… Souvenez-vous, la Parole de Dieu vaincra Satan n’importe où, à n’importe quel endroit, n’importe quand et dans n’importe quelles conditions.
(Comme J’ai été avec Moïse, 3 mai 1951)

Chaque pécheur est sauvé ce soir aux yeux de Jéhovah Dieu. Mais cela ne vous fera aucun bien avant que vous ne l’acceptiez, et que vous le croyiez, et que vous le confessiez. Et alors Il est le Grand Prêtre de votre confession pour la faire valoir correctement devant Dieu. Et chaque bénédiction de rédemption… Si vous êtes las… « Il a été blessé pour nos transgressions, brisé pour nos iniquités ; le châtiment de notre paix est sur Lui ; par Ses meurtrissures nous sommes guéris. » C’est déjà fait. Acceptez-le simplement.
(Ma commission, 5 mai 1951)

Souvenez-vous, ce n’est pas combien vous pleurez, ce n’est pas combien vous vous repentez, ce n’est pas la force avec laquelle vous pouvez crier à Dieu ; ce n’est pas le degré de votre sincérité, c’est le degré de votre foi que vous pouvez avoir quand vous venez à Lui. Il ne vous sauve pas sur les mérites de votre foi. C’est par la foi que vous êtes sauvé…
Maintenant vous venez à l’autel en réalisant que vous êtes un pécheur et vous regrettez vos péchés.  Vous vous repentez de ce que vous avez fait. Et  vous pourriez rester là  et pleurer pendant une semaine… Et cela ne vous sauverait pas avant que vous ne croyiez dans votre cœur que vous êtes sauvé.  Est-ce vrai ? Ensuite vous le confessez. Il ne peut rien faire pour vous avant que vous ne le confessiez. …/… car il est le Grand Prêtre de votre confession.
… et si vous disiez : « Eh bien, je vais voir comment cela agit. » Cela n’agira jamais à moins que vous ne continuiez à témoigner. Vous croyez que vous êtes sauvé, et vous vous associez avec ceux qui sont sauvés ; et cela produit le salut. Est-ce exact ? Et la même chose se produit avec la guérison Divine. Vous croyez que vous êtes guéri, vous agissez comme s’Il vous avait guéri, vous dites que vous êtes guéri ; et Il est le Grand Prêtre de votre confession pour rendre effectif tout ce que vous confessez qu’Il a fait, devant le Père.
(La manifestation de l’Esprit, 17 juillet 1950)

l’Evangile, comme on le croit communément, est la Parole de Dieu ; et c’est vrai dans un sens. Mais la Parole de Dieu n’est pas l’Evangile seulement. La Parole de Dieu est la Semence qui produit l’Evangile. Jésus a dit qu’un semeur est allé semer des semences. Certaines sont tombées dans des endroits rocailleux et certaines sont tombées sur le bord du chemin, et les oiseaux les ont dévorées. Certaines sont tombées au milieu des chardons et des épines, certaines sont tombées et ont produit au centuple. Maintenant, les semences, vous qui êtes fermiers, chaque semence produira si elle tombe dans la bonne sorte de terre. Et chaque promesse Divine de Dieu, dans la Bible, produira si elle rencontre la bonne sorte de cœur. Elle produira la promesse. Si vous avez besoin de Salut, croyez qu’Il vous sauve et acceptez le sacrifice de Sa mort et vous recevrez ce que vous avez demandé. Si vous êtes las et sombre, et que vous ressentez que tout le monde est contre vous : « Venez à Moi, vous tous qui peinez et qui êtes changés, et je vous donnerai du repos. » C’est une semence. Acceptez-le ! C’est une semence ; elle produira. Quand vous semez une semence, vous n’allez pas la déterrer chaque matin pour voir ce qui se passe. Si vous le faites, votre semence ne poussera jamais. Vous devez la planter, la confier à la terre, et la laisser tranquille. C’est à la nature, à Dieu, de l’arroser et à veiller à ce qu’elle pousse. Est-ce vrai ? C’est ainsi que vous faites avec la Parole de Dieu. Acceptez-la dans un bon cœur, déjà fertilisé et en ayant enlevé toutes les mauvaises herbes, les endroits rocailleux et les pierres du doute et avec un bon sol riche de foi, croyez-la, confiez-la à Dieu et allez-vous en, en témoignant que vous avez reçu ce que Dieu vous a promis. Et  ce que vous confessez qu’Il a fait. C’est l’Evangile. Maintenant, l’Evangile n’est pas seulement la Parole. …/…
Il ne peut pas vous sauver par les mérites de votre prière. Il ne peut pas vous sauver par les mérites de votre enthousiasme ou de vos bonnes œuvres. Il vous sauve par les mérites de votre foi et de votre confession. Car « si vous Me confessez devant les hommes, celui-là, Je le confesserai devant Mon Père et devant les saints anges. »
(La seule vraie Eglise vivante, 27 juillet 1951)

Je me souviens quand je ne pouvais rien garder dans mon estomac. Je pesais moins de cinquante kilos. Chaque fois que j’avalais quelque chose, cela entrait et la ressortait. [Frère Branham illustre la scène – Ed.] Je suis descendu et j’ai attrapé ma femme, je l’ai prise dans mes bras et je l’ai embrassé.

  • J’ai dit : « Chérie, le Seigneur m’a guéri ! »
  • Elle a dit : « Quoi ? »
  • J’ai dit : « Le Seigneur m’a guéri. »
  • Elle a dit : « Es-tu sûr ? »
  • J’ai dit : « Je le sais ! »
  • Elle a dit : « Comment le sais-tu ? »
  • J’ai dit : « La Parole l’a dit. »

    Voyez-vous ? Il a dit qu’ « Il  est le Grand Prêtre de ma confession. » Je L’ai confessé comme mon Guérisseur.

  • Elle a dit : Peux-tu manger ? »
  • J’ai dit : « Certainement ! »

    Et chaque fois que je buvais de l’eau, cela ressortait directement  par mon nez. Elle est assise là derrière et sait que c’est la vérité. Elle a dit : « Que désires-tu ? » J’ai dit : « Va au magasin, me chercher une boîte de cassoulet. Ouvre-la et prends une miche de pain et coupe-moi des oignons blancs du Texas ; j’en ai envie. »
    (Le second miracle, 29 juillet 1951)

    Tout ce que le ciel possède est à vous. Vous avez un carnet de chèques. La seule chose à faire, c’est dire : « Je le crois. Je vais y mettre mon nom, c’est à moi. » Allez de l’avant en le croyant, en le témoignant et vous irez bien.
    (A ta Parole, Seigneur, 28 septembre 1951)

    La guérison Divine se trouve au Calvaire. Et la seule chose que vous puissiez faire est de vous diriger vers le Calvaire. C’est là où se trouve votre salut. Vous n’avez pas été sauvé il y a juste cinq ans, dix ans ou vingt ans. Vous n’avez pas été sauvé à ce moment-là. Voyez-vous ? Vous avez été sauvé il y a dix-neuf cents ans, quand Jésus est mort au Calvaire. Il a ôté les péchés du monde. Vous avez simplement accepté votre salut, il y a tant et tant d’années. Mais tout ce que Dieu peut faire pour la maladie et le péché, a déjà été accompli au Calvaire. Et la seule chose qu’un prédicateur puisse faire est de vous diriger là où … ce que Dieu a déjà fait pour vous en Christ.
    (Jésus-Christ, le Même hier, aujourd’hui et éternellement, 6 mai 1953)

    Si vous êtes las, contrarié, bouleversé, nerveux, malade, pécheur, quelle que soit la chose, quand vous l’acceptez de votre cœur, allez et confessez-le, et alors dites : « C’est vrai ». Dieu est là pour l’accomplir, quand vous commencez à le confesser. Mais si vous avez peur de le dire, et si vous avez peur d’agir sur votre confession, peu importe combien de fois on prie pour vous, vous n’irez jamais bien. Vous devez le croire premièrement. Vous voyez ? Il est le Grand Prêtre de ce que vous confessez qu’Il a fait pour vous.
    (Nous l’avons trouvé, viens et vois, 11 mai 1953)

    Et ce soir, si chacun de vous veut accepter maintenant même Jésus comme son Guérisseur et dire : « Seigneur, la question est réglée ici même. Peu importe si j’ai deux fois plus mal, si je suis trois fois plus malade, cinq fois plus paralysé ; je vais… si je ne peux rien faire d’autre que bouger le petit doigt, je vais bouger le petit doigt et Te donner la louange, proclamer que Tu m’as guéri. »
    (Préparation, 11 novembre 1953)

    Vous devez le confesser. Non pas : que vous devez le sentir… vous devez le confesser. Il n’est pas le Grand Prêtre de ce que vous sentez, Il est le Grand Prêtre de votre confession. C’est vrai ! Ce que vous confessez !
    Maintenant, si on prie pour vous ou si vous êtes assis dans ce bâtiment cet après-midi et que le Saint-Esprit se déplace ici dedans ; vous sentirez Sa Présence bénie, et vous entendriez Sa Parole sortir, disant qu’Il a guéri et ainsi de suite, et voir la Puissance de Dieu. Elle sort, et vous savez que c’est pour tout le monde. Si vous sortez en disant : « Eh bien, je me sens aussi mal que lorsque je suis entré. » Il ne pourrait rien faire pour vous.
    Et si vous dites : « Eh bien, je l’ai gardé maintenant. » Et ensuite, le matin, vous vous levez et vous dites : « Eh bien, j’ai encore ce mal de tête, je me sens toujours mal. » Alors vous l’avez laissée tomber exactement là. Vous ne vivrez jamais au-dessus de votre confession. Si la personne la plus sainte de ce bâtiment se met dans la tête maintenant même qu’elle n’est plus une chrétienne, c’est alors que vous commencez à ne plus être chrétien.
    Quand vous sortez : « Etes-vous chrétien ? »
    « Non, je l’étais ; mais, je ne le suis plus. » Vous êtes déchu de la grâce à ce moment précis. Voyez-vous ? C’est la Foi. C’est soi la foi ou l’incrédulité. Vous êtes possédé par ces deux puissances : la foi ou l’incrédulité. Si vous avez la foi, vous êtes sauvé parce que vous êtes un croyant. Si vous n’avez pas la foi… vous êtes un pécheur.
    (A ta Parole, Seigneur, 21 février 1954)

    Dieu ne peut vous sauver que lorsque vous le témoignez. Il ne peut vous guérir que lorsque vous le témoignez. Il est assis à la droite du Père ce soir, pour intercéder sur votre profession. Ce n’est pas la force avec laquelle vous pouvez crier, avec laquelle vous pouvez frapper sur l’autel, les bonnes œuvres que vous pouvez faire. C’est votre foi qui sauve.
    Et si vous le confessez de vos lèvres et que cela vienne de votre cœur, Il commence à agir, étant un Grand Prêtre assis à la droite du Père pour intercéder sur votre confession. (Hébreux 3 : 1)
    Il ne peut pas faire une seule chose pour vous avant que vous le croyiez d’abord, que vous l’acceptiez et que vous le confessiez.
    Et les gens, aujourd’hui, sortent en disant : « Eh bien, je me sentais mieux hier soir. Mais aujourd’hui, je suis si mal que je peux à peine le supporter. » C’est exactement à ce moment-là que vous avez perdu votre confession, que l’avez laissé tomber. Peu importe qui vous êtes, votre sainteté, votre piété, que vous soyez un prédicateur, un homme d’église ou un diacre, ou quoi que vous soyez, ou que vous soyez chrétien depuis cinquante ans. Si vous sortez d’ici demain et que vous perdiez la foi que vous êtes un chrétien et que vous commenciez à dire aux gens que vous n’êtes plus un chrétien, vous avez rétrogradé, vous êtes en train de mourir.
    (A ta Parole, Seigneur, 7 juillet 1954)

    C’est une chose étrange que tant de personnes pensent ainsi, ils disent : « Eh bien, je suis faible ; je ne suis pas un très bon chrétien. » C’est exactement ce que le diable veut que vous disiez. Vous parlez son langage à ce moment-là. Voyez-vous ? Vous ne devez jamais dire cela.  Que votre témoignage ne soit jamais négatif, qu’il soit positif tout le temps. « Je suis sauvé. J’ai Dieu dans mon cœur. Je Le crois de tout mon cœur. » Crois-tu dans la guérison Divine ? « De tout mon cœur. »
    Ne permettez jamais à une pensée négative de venir dans votre esprit, si vous le pouvez. Quand cela commence, ne l’entretenez pas.
    C’est comme le fermier qui disait qu’il ne pouvait pas empêcher les oiseaux de voler au dessus de sa  propriété, mais il pouvait certainement les empêcher d’y faire leur nid.
    (La loi, 15 janvier 1955)

    Nos cœurs brûlent à l’intérieur de nous quand nous pensons que nous avons Quelqu’un qui nous représente aujourd’hui, dans la Présence du grand Dieu Tout-Puissant. Il n’est pas mort, mais Il est vivant et Il est assis dans Sa Présence. Et Il est présent partout, Il connaît toutes choses, Il est omnipotent en puissance, Il peut faire toutes choses, Il connaît toutes choses et est toujours présent. Comme nous Te remercions pour cette merveilleuse et glorieuse vérité que nous tenons dans notre sein aujourd’hui, que nous chérissons tellement. Et là, Il peut être touché par le sentiment de nos infirmités, car Il a souffert pour nous, en portant notre maladie au Calvaire. Nous sommes tellement heureux de savoir cela aujourd’hui et de connaître l’assurance directe que nous avons maintenant : Il est vivant, Il parle pour nous, Il nous aime.
    (La preuve de Sa résurrection, 10 avril 1955)

    Donc, ce sont des individus. Maintenant vous direz peut-être : « Eh bien, pourquoi des prédicateurs ? » C’est pour cela qu’il y a des prédicateurs. Dieu a envoyé des prédicateurs pour prêcher la Parole. Quand vous L’entendez, sondez-la, voyez si c’est la Vérité, acceptez-la. Maintenant, le prédicateur ne vous sauve pas ; son Message ne vous sauve pas. C’est votre foi personnelle dans un Seigneur Jésus ressuscité qui vous sauve. Peu importe combien vous pourriez pleurer, la force avec laquelle vous pourriez hurler, combien vous croyiez de tout votre cœur, que vous vous leviez et que vous le confessiez. Car Il est le Grand Prêtre de notre confession, Hébreux 3, ou nous confessons être la Vérité.
    Tout ce qui a été inclus dans l’expiation est la propriété personnelle de chaque croyant. Quand un homme est sauvé, ou une femme, un garçon ou une fille, Dieu leur donne un carnet de chèques, comme nous dirions, avec le Nom de Jésus au bas de chaque chèque pour chaque bénédiction de rédemption pour laquelle Jésus est mort. C’est votre propriété personnelle. N’ayez pas peur de le remplir. La banque du Ciel le reconnaîtra.
    Jésus a dit : « Quelle que soit la chose que vous désirez, quand vous priez, croyez que vous le recevrez. Quelle que sot la chose que vous demandiez au Père en Mon Nom, Je le ferai. » Les richesses insondables de Jésus-Christ dans cette promesse !
    (Jésus-Christ le Même hier, aujourd’hui et éternellement, 3 juin 1955)

    Quand vous devenez un chrétien, vous venez et vous confessez que Jésus est votre Sauveur. Le croyez-vous ? Quand vous sortez, vos amis critiques disent : « Je ne vois aucune différence en toi. » Mais vous croyez qu’il y en a une. Alors vous agissez comme s’il y en avait une. Ensuite, après un moment, tout le monde sait qu’il y en a une.
    Voyez-vous, Jésus est le Grand Prêtre de notre confession. Il ne peut rien faire pour vous avant que vous l’acceptiez premièrement et que vous confessiez que c’est déjà fait. Et Il fera que votre corps, votre nature, s’assujettisse à Sa Parole. Comprenez-vous maintenant ? Vous devez agir exactement comme si c’était déjà fait.
    Je me souviens quand j’étais si malade que les meilleurs docteurs que je connaissais disaient que ne pouvais pas vivre. J’avais des ulcères à l’estomac qui avaient éclaté ; et ils disaient qu’une seule bouchée de nourriture solide me ferait attraper une indigestion et que je mourrais en quelques instants. J’étais en train de lire la Bible où Il disait : « Quand vous demandez quelque chose, croyez que vous le recevez. »
    (Montre-nous le Père, 25 juin 1955)

    C’est seulement l’amour de notre Père qui nous aime tellement qu’Il envoie Sa Parole ; Il envoie Ses prédicateurs pour prêcher la Parole. Ensuite Il envoie des dons dans l’église, les bras tendus, essayant de faire en sorte que vous le croyiez. Il désire vous guérir ce soir, mille fois plus que vous ne désirez être guéri. Mais vous avez peur. Vous marchez selon ce que vous ressentez, parce que vous, vous avez regardé à cela ; vous avez vécu selon vos sentiments. C’est…  Votre vie entière a été enveloppée là-dedans. Mais vous devez vous éloigner de cela et agir sur la Parole de Dieu, non pas ce que vous ressentez, non pas ce que vous voyez, ce que Dieu a dit et agir là-dessus. Faites-en une confession. Confesser signifie : « dire la même chose ».
    Et il est à la droite du Père pour faire intercession sur votre confession avec Son propre Sang.
    (Jéhovah Jiré, 17 août 1955)

    Il ne peut rien faire avant que nous confessions d’abord qu’Il l’a fait. Il n’y a pas de guérison dans l’homme, il n’y a pas de guérison dans la médecine ; je vous ai prouvé cela l’autre jour. Il n’y a pas de guérison dans les médicaments, les médicaments ne prétendent pas guérir. C’est un remède, il nettoie pendant que Dieu guérit. La médecine ne construit pas des tissus, la médecine ne peut réparer un os. La médecine ne peut guérir une blessure ou une coupure. Certainement pas, elle garde simplement l’endroit propre pendant que Dieu le guérit. C’est Dieu qui opère la guérison, et le médicament le garde simplement propre. Un médecin vous dira la même chose.
    Il a dit : « Je suis le Seigneur qui guérit toutes tes maladies. » Toutes les maladies sont guéries par Dieu.
    (Les résultats de la décision, 8 octobre 1955)

    Vous avez demandé à Dieu. Jésus a dit : « Demandez ce que vous voulez au Père en Mon Nom ; Je le ferai. »
    A-t-Il pu mentir ? Il ne le pouvait et être Dieu. N’ayez pas confiance dans votre prière, ayez confiance dans ce qu’Il a dit. Il l’a dit. Tous les démons tremblent. Restez « enfermé » avec Dieu.
    Dans votre cœur, dites : « Cher Dieu, je crois maintenant. Je sais simplement que Ton grand Saint-Esprit entre maintenant en moi… »
    (Le voile intérieur, 21 janvier 1956)

    Il ne pouvait pas mourir pour les péchés sans mourir pour la maladie. La maladie est un attribut du péché. Maintenant, vous n’avez peut-être pas péché, en ce qui concerne le fait d’être malade ; mais ce fut à cause du péché en premier lieu, qui a amené la maladie dans le monde. Avant le péché, nous n’avions pas de maladie.
    Quand nous nous occupons du péché, nous nous occupons de la mort. La maladie et la première étape de la mort. (…)
    Un véritable docteur fera un diagnostic pour voir ce qui ne va pas avec moi. Alors il ira au fond des choses e commencera à travailler à partir de là. Eh bien, c’est ainsi que nous devons travailler dans la guérison Divine ou avec le salut de l’âme. Si un homme vient dire qu’il est grandement perturbé au sujet du salut. La première chose à faire, que vous les prédicateurs vous devez faire, est de descendre directement la ligne jusqu’à ce que vous trouviez où il est sorti du chemin ou ce qui est arrivé. Vous remontez à partir de là. C’est la même chose avec la guérison Divine. La guérison Divine n’est pas un certain pouvoir que Dieu a donné à un homme ; la guérison se trouve seulement dans l’expiation.
    (Combattant pour la foi, février 1956)

    Tout dépend où votre foi se tient. Votre salut est bon aussi longtemps que votre confession est bonne. Mais quand votre confession chute, alors votre salut est parti.
    (Vie cachée avec Christ, 13 février 1956)

    Tout est accompli, et  vous pouvez reposez votre âme sur chaque parole qui sort de la Bible de Dieu. C’est la raison pour laquelle à Mexico, la plupart des gens sont catholiques là-bas ; et alors que j’étais interviewé par un catholique, il disait : « Frère Branham, croyez-vous que nos saints peuvent accomplir des miracles ? » J’ai dit : « S’ils sont vivants, pas morts. »
    (Le puissant conquérant, 1 avril 1956)

    Jésus, le Grand Prêtre, ne peut rien faire pour vous avant que vous le confessiez, et que vous agissiez sur la base de votre confession. Hébreux, au chapitre trois, dit : « Il est le Grand Prêtre de notre confession. » Le mot est « professer », mais professer et confesser sont le même mot. « Le Grand Prêtre de notre confession. » Vous ne pouvez rien faire avant de l’avoir premièrement accepté et de confesser qu’Il l’a fait. C’est vrai. Avez-vous déjà vu quelqu’un essayant d’être sauvé ? Il marche le long en large à l’autel et pleure, et mâche du chewing-gum : « Seigneur Dieu, je Te le dis, si Tu ne me prends pas… » Il n’a pas assez de foi dans son encre pour mettre un point sur un « i ». Il s’avance simplement : « Seigneur, je Te dis que je… Je Te dis que… »
    (L’alliance de Dieu avec Abraham, 28 avril 1956)

    « Même maintenant, Seigneur, peu importe ce que le docteur dit ; ce que la science dit. Mais même maintenant, Seigneur, tout ce que Tu demanderas à Dieu, Dieu Te le donnera. » Le croyez-vous ? Même maintenant, tout ce que Tu lui demanderas, Il le fera. Quelque chose doit se passer.
    (Les dons, 7 décembre 1956)

    Si Dieu a dit : « Par Ses meurtrissures nous sommes guéris », alors je dis : « Par Ses meurtrissures, je suis guéri. » S’Il a dit : « Il a porté mes péchés », je dis : « Il a porté mes péchés. » Je ne les ai plus ; Il les a porté. Il a dit qu’Il m’a guéri quand Il est mort pour moi au Calvaire avec Ses meurtrissures. Je dirais : « Il m’a guéri là. Je le crois maintenant même et je l’accepte. » Cela règle la question. Peu importe comment je me sens et de quoi ça a l’air… Si je disais : « Eh bien, regardez. Vous dites que vous êtes guéri ; et regardez, regardez votre corps. » Cela n’a rien à voir, rien à voir du tout. Dieu l’a dit. Ce n’est pas ce que je vois, c’est ce que je crois.
    (Résurrection de la fille de Jaïrus, 2 mars 1954)

    Jonas, dans le ventre de la baleine, rétrograde, la tempête sur la mer, les mains et les pieds liés, couché dans la vomissure, des algues marines autour du cou, s’il a pu regarder vers un temple, où un homme qui plus tard a rétrogradé, du nom de Salomon, a prié pour la délivrance des enfants ; combien plus devriez-vous regarder aux lieux célestes en Christ Jésus, alors que vous êtes assis dans la maison de Dieu ; là où des gens sont guéris tout le temps, et détourner les yeux de vos symptômes, pour regarder non pas vers un temple fait de main d’homme, mais vers le Ciel lui-même où Christ est assis à la droite de Dieu, avec Son Sang, pour faire intercession sur votre confession. Combien plus devriez-vous dire : « Ce ne sont que des vanités mensongères. Je ne le crois pas. » Regardez au Ciel. Cela dépend de ce que vous regardez. Si vous continuez à regarder à votre main, vous n’irez jamais mieux ; si vous regardez à la promesse de Dieu, vous êtes obligé d’aller mieux.
    (Jéhovah-Jiré, 12 juin 1957)

    Votre nom est Edna Way, vous vivez à Indianapolis. Vous habitez dans une rue appelée « Kenwood Avenue », votre numéro est 36-3726, Kenwood Avenue. Le nom de votre mari et Frank, n’est-ce-pas ? Je ne vous ai jamais vu de ma vie, est-ce exact ? Vous avez touché Quelque chose… Vous avez reçu ce que vous demandez. Vous avez touché le Seigneur Jésus, le Grand Prêtre de votre confession.
    (Avoir soif de la Vie, 13 juin 1957)

    La petite dame assise là avec une chose rose sur elle, je vois la vi… Oui, c’est exact. Vous avez quelque chose qui ne va pas avec votre sein… Vous savez que vous avez touché Quelque chose. C’était Christ, le Grand Prêtre de votre confession.
    (Restez tranquilles et voyez le salut, 26 juin 1957)

    « Frère Branham, voudriez-vous guérir mon bébé ? Voudriez-vous faire ceci ? » Je souhaiterais pouvoir le faire, mais ce n’est pas en mon pouvoir de le faire. Ni dans le pouvoir d’un autre homme ; mais de Dieu seul. Pourquoi les réunions ? Afin que les gens viennent ici et que je leur impose les mains ? Ce n’est même pas nécessaire. C’est à vous, non pas de me toucher ou que je vous touche, c’est à vous de Le toucher. Là où vous êtes, regardez à Lui et dites : « Seigneur, Tu es le Grand Prêtre de ma confession. Tu es le Grand Prêtre qui peut être touché par le sentiment de mes infirmités. Je suis malade ce soir, Seigneur Jésus, je confesse maintenant ma foi et je crois que Tu m’as guéri il y a dix neuf cents ans, et je le crois maintenant et je l’accepte. » Observez ce qu’Il va faire. Il est le Même hier, aujourd’hui et éternellement. Il ne peut faillir.
    (Messieurs, nous voudrions voir Jésus, 4 Août 1957)

    Je crois que s’Il est le Même hier, aujourd’hui et éternellement, il doit être le Même en principe, en puissance et en toutes choses. La seule chose, Il ne pourrait le Même dans Son corps de chair. Son corps de chair est assis sur le Trône de Dieu comme sacrifice sanglant devant le Trône de Sa Majesté pour faire intercession sur notre confession. Il ne peut pas nous aider avant que nous confessions premièrement qu’Il est le Grand Prêtre de notre confession.
    (Expectatives et conduites de l’Esprit, 11 août 1957)

    Il n’y a aucune créature qui soit cachée devant Lui, mais toutes choses sont nues et découvertes aux yeux de Celui à qui nous avons affaire. Ayant donc un Grand Prêtre qui a traversé les cieux, Jésus, le Fils de Dieu, tenons fermement notre confession.
    (Hébreux chapitre 4, 1 septembre 1957)

    De là vient aussi qu’Il peut sauver à l’extrême (peu importe combien nous avons été bas, combien nous sommes allés loin ; Il peut sauver jusqu’à l’extrême) ceux qui viennent à Dieu par Lui, (ce n’était pas sur notre justice, mais sur notre confession, voyez-vous, « ceux qui viennent à Dieu par Lui ») étant toujours vivant pour intercéder pour eux. (Il se tient là, faisant constamment intercession.) Car un tel Grand Prêtre nous convenait, saint, innocent, sans souillure, séparé des pécheurs, un Grand Prêtre dans les cieux.
    (Hébreux, chapitre 7, 22 septembre 1957)

    Maintenant laissez-moi vous dire ceci, il n’y a aucune bénédiction dans la Bible que vous puissez obtenir sans d’abord la confesser.
    (Jésus-Christ le Même, 14 février 1958)

    Ce soir, ne regardez pas à un prédicateur ; non pas à un de vos frères ou sœurs, mais regardez au Calvaire, regardez à Christ qui a … Non pas exactement au Calvaire. Le Calvaire est l’endroit où le prix a été payé, mais Christ est loin du Calvaire ce soir : Il est dans la Présence de Dieu, toujours vivant pour intercéder sur votre confession. L’Esprit de Christ est ici au milieu de nous, ce soir.
    (L’œil de Dieu, 25 février 1958)

    La baleine l’a gardé dans son ventre pendant trois jours et nuits, et l’a « livré » exactement au bon endroit. Dieu a simplement pris une baleine et l’a utilisée comme taxi pour le transporter de Tarse à Ninive. Et Dieu l’a gardé vivant parce que qu’il a dit : «Je ne regarderai pas mes symptômes ; je regarderai vers Ton saint temple.»
    Et si Dieu a fait cela dans ces symptômes et ces circonstances, combien plus le fera t-Il  ce soir, dans ces circonstances et avec nos symptômes, si nous ne regardons pas à un temple fait de main d’homme, mais vers le Temple des Cieux, où Christ est assis à la droite de Dieu, en train d’intercéder sur notre confession… Combien plus ne nous délivrera-t-il pas ? Je ne regarderai pas mes symptômes.
    (La reine de Séba, 3 mai 1958)

    Et si nous venons au Cep, Christ, Son Eglise, que voyons-nous ? Des histoires, des disputes sur la théologie, de la haine, de la malice, de la science. Et nous appelons cela les œuvres de Dieu. Les Ecritures disent que ce n’est pas ainsi. « A ceci tous les hommes sauront que vous êtes mes disciples, quand vous aurez de l’amour les uns pour les autres. » L’amour de Dieu dans Son Eglise, faisant de chaque membre une partie de Lui. Alors sur cet amour et sur cette fondation, vous construisez votre Eglise.
    (Jésus-Christ le Même hier, aujourd’hui et éternellement, 15 mai 1958)

    Dites : « Seigneur Jésus, merveilleux Grand Prêtre de l’Alliance, je viens humblement devant Toi en confessant mon péché. »
    Maintenant, le péché, c’est l’incrédulité. Fumer n’est pas un péché, boire n’est pas un péché, commettre l’adultère n’est pas un péché. Ce sont les attributs du péché.  Si vous croyiez, vous ne feriez pas ces choses, voyez-vous ? Il n’y a qu’un péché, et c’est l’incrédulité. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » Voyez-vous ? Vous fumez, mentez, volez, buvez, commettez l’adultère parce que nous n’êtes pas un croyant. Un croyant ne fait pas cela. Il est passé de la mort à la Vie. « Celui qui entend Mes Paroles et croit en Celui qui M’a envoyé a la Vie Eternelle et ne viendra jamais en jugement, mais il est passé de la mort à la Vie. » Jean 5 : 24
    (Conduit par l’Esprit, 7 avril 1959)

    Quelqu’un peut dire : « Je n’arrive pas à abandonner les choses du monde ; je ne peux faire ceci, je… » Vous ne pouvez pas ? Vous ne vous êtes simplement pas encore saisi correctement de la chose. C’est cela. Vous n’avez pas encore touché le bon vêtement. Lorsque vous Le toucher, le Grand Prêtre de votre confession, Qui est une grande Semence d’Abraham, par la promesse de Dieu, alors vous revêtez Son Esprit dans la plénitude de la puissance de Sa résurrection ; Il vous remplit et vous charge de Sa bonté et de Sa miséricorde, et de Sa puissance de foi pour appeler tout ce qui est contraire à la promesse de Dieu comme si ce n’était même pas là.
    (Jéhovah-Jiré, 17 avril 1959)

    Celui qui croit et est baptisé sera sauvé. Sortez de ce bâtiment en témoignant que vous êtes sauvé. Et si vous sortiez de ce bâtiment en disant : « Eh bien, je ne sais pas. » Alors, vous n’êtes pas sauvé. Mais Dieu fera que votre corps obéisse à votre confession. Voyez ? Et il est  le Grand Prêtre de notre confession. Avant de pouvoir être guéri, vous devez le confesser premièrement. Vous devez croire que vous êtes guéri. Et alors, quand vous croyez que vous êtes guéri, Dieu fait que votre corps obéisse à votre confession. Ainsi donc, quand vous passez par ici, que cela soit réglé, dites : « Dieu, c’est Ton commandement. Je crois que je suis guéri. »
    (Montre-nous le Père, 19 avril 1959)

    Pourrions-nous nous humilier ce soir, et être transformés par le renouvellement de notre esprit, par le Saint Esprit, afin que nous puissions livrer nos lèvres, nos yeux et votre foi et ma foi afin qu’il vienne dans cette assemblée pour se mouvoir en vous et se mouvoir en moi afin d’accomplir Sa Parole, qu’Il est un Grand Prêtre de notre confession.
    (Images de Christ, 25 mai 1959)

    Il est le Grand Prêtre qui peut être touché par le sentiment de nos infirmités. Si vous êtes malade, touchez-le ! Il agira de la même manière qu’Il le fit quand Il était ici sur terre.
    La femme a touché Son vêtement, elle est partie s’asseoir ou elle est allée dans la foule. Il s’est retourné et a dit : « Qui m’a touché ? »
    Et Pierre a dit : « Eh bien, ils T’ont tous touché ! » Il L’a repris. « Pourquoi dis-Tu une telle chose ? Il dit : « Mais je suis devenu faible. Une vertu est sortie de Moi. Quelqu’un M’a touché. » Et Il regarda autour de Lui jusqu’à ce qu’Il la trouve, Il lui dit que sa perte de sang avait cessé ; sa foi l’avait guérie. Et elle était guérie.
    S’Il est le même Jésus, et vous pouvez Le toucher  par la foi ; il n’y a pas de vêtement ici que vous puissiez toucher. Mais il y a un Dieu que vous pouvez toucher avec votre foi, avec votre doigt de foi. Le doigt de Dieu qui est en vous ; laissez-le toucher. Alors Il agira dans Ses branches. Il est le Cep. Il n’a pas d’autres membres que les nôtres, pas d’autres yeux que les nôtres pour agir ici sur la terre. Son Saint Esprit est ici pour donner l’énergie à Ses branches afin de faire les mêmes œuvres.
    (La porte du cœur, 12 mars 1960)

    Le Dieu immuable agit de manière mystérieuse pour accomplir Ses prodiges. Nous prions, O Dieu, que Ton Saint Esprit, Ton Esprit habite dans chaque cœur ici ce soir. Donne-leur le désir de leurs cœurs. Puissent-ils avoir la foi, Seigneur. Mets quelque chose en eux, un courage, afin qu’ils sachent que Tu es toujours présent, toujours vivant pour intercéder.
    Tu es assis à la droite du Dieu Tout-Puissant. Et là, à Son Trône, le précieux corps de Jésus-Christ est assis, pendant que le Saint Esprit est sur la terre. Et Il est là comme notre Grand Prêtre, pour intercéder sur notre confession ; ce que nous confessons qu’il fera ; Il est là pour l’accomplir.
    Dieu ne peut pas regarder au travers de ce Sang et voir l’injustice, parce que Christ a pris nos péchés et notre maladie. O père, Dieu, nous prions, alors qu’Il est un Grand Prêtre qui peut-être touché par le sentiment de nos infirmités, qu’Il soit touché ce soir par chaque infirmité qui est dans ce bâtiment, toutes les infirmités, qu’elles soient spirituelles ou physiques ; qu’il y ait une guérison, et qu’un réveil éclate dans cette ville ; oh, âmes après âmes, dans le Royaume de Dieu.
    (Le Dieu immuable, 26 mars 1960)

    Maintenant c’est votre foi dans cette œuvre accomplie qui fait le travail. C’est ainsi. Vous le confessez, et Il est le Grand Prêtre de notre confession.
    (C’est Moi, n’ayez pas peur, 29 mars 1960)

    Mais cela ne vous fera pas de bien à moins que vous ne l’acceptiez, que vous ne le croyiez. Vous dites : « Oui, Seigneur, j’accepte maintenant ce que Tu as fait pour moi. » Alors, vous êtes sauvé. Et ensuite vous dites : « Je désire que Tu me guérisses, Seigneur. » Il l’a déjà fait. Alors, vous n’avez qu’à accepter ce qu’Il a fait…
    Maintenant, Il ne peut rien faire pour nous jusqu’à ce que nous disions qu’Il l’a déjà fait. Nous devons le confesser ou le professer qu’Il l’a fait, alors Il peut se mettre en action et intercéder. Est-ce exact, frère ?
    (La reine de Séba, 1 avril 1960)

    Combien savent que Son corps de chair est assis à la droite de Dieu, le Père, dans la gloire, en train d’intercéder, alors que Dieu ne peut pas voir nos péchés, et Il regarde au travers du Sang de Jésus. Le rouge au travers du rouge apparaît blanc ; nous savons cela. Et au travers du Sang rouge de Christ, nos péchés rouges deviennent blancs. « Même si vos péchés sont rouges comme le cramoisi, ils deviendront blancs comme la neige. »
    (N’aie pas peur, c’est Moi, 20 juillet 1960)

    Maintenant je sais que c’est la vérité, parce que je l’ai éprouvée. Mais, si vous avez des péchés inconfessés dans votre cœur, bien sûr, cela n’agira pas. Vous devez confesser votre péché. Croyez au Seigneur Jésus-Christ ; acceptez-Le comme votre Guérisseur tout comme vous l’avez accepté comme votre Sauveur.
    Ils disent : « La guérison Divine dure-t-elle, Frère Branham ? » Juste aussi longtemps que la foi dure. Quand vous arrivez à un endroit où vous dites que vous n’êtes plus sauvé, souvenez-vous, vous avez rétrogradé à cet endroit même. Quand votre confession chute, alors votre foi chute.
    (Jéhovah-Jiré, 3 août 1960)

    Combien plus peut-Il agir pour vous et moi quand nous refusons de regarder à nos problèmes, et encore une fois, je regarderai vers le Saint Temple, où Jésus est assis à la droite de la Majesté dans les Cieux, faisant intercession sur notre confession. Amen.
    Comment pouvons-nous regarder aux symptômes ? Je regarde à Jésus. Non pas à ce que ceci paraît, mais à ce que Cela dit. Regardez au Calvaire, au prix qui a été payé pour cela. Quelqu’un est venu me dire : « Je suis trop enfoncé, Frère Branham, Dieu ne m’a pas sauvé. » Ne regardez pas à la gravité de votre cas, regardez à la grandeur de sa bonté ! Ne vous regardez pas vous-mêmes, regardez-Le ! Les sacrificateurs ne voyaient jamais la personne pour qui le sacrifice était fait.
    (La reine du Sud, 27 novembre 1960)

    C’est la même chose avec la guérison Divine. Vous ne… Je vois des gens tout excités et essayer de …  ils sont nerveux et disent : « Oh, si je pouvais seulement… » Vous savez, vous passer simplement au-dessus. Vous le laissez derrière vous. Vous allez là, excité, et vous essayez d’atteindre quelque chose, alors que c’est juste ici près de vous. C’est juste simple. Dites simplement : « Merci, Père. Tu  me l’as promis. Je le reçois maintenant. » C’est tout ! Observez ce qui arrive. Maintenant, pensez-le dans votre cœur. Continuez simplement à le dire, encore et encore. Dites… Si vous ne le croyez pas d’emblée, continuez à le dire jusqu’à ce que vous le croyiez. « Je te remercie, Seigneur, de m’avoir guéri. » Qu’est-Il en effet ? « Il est le Grand Prêtre de notre confession. »Est-ce exact ? Hébreux 3. Très bien. Il est le Grand  Prêtre de notre confession. Alors Il ne peut rien faire pour vous, Il ne peut faire aucune intercession avant que premièrement vous ne confessiez que c’est fait. Maintenant, est-ce scripturaire ? Le Grand Prêtre de notre confession. Alors Il peut seulement agir quand nous confessons.
    Maintenant, si vous dites : « Seigneur, j’ai perdu la joie de mon salut. Je désire que Tu… Je regrette d’avoir été absent de la réunion de prière. Mercredi soir, je retournerai (ou mardi, quel que soit le jour), j’y serai à nouveau. » Très bien. Pensez-le. Croyez-le. Dites :  « J’ai confessé que j’ai tort. » Maintenant commencez à agir là-dessus. Christ commence à intercéder pour vous. Ensuite, dites : « Je suis un pécheur. Je regrette d’avoir péché, Seigneur. Je vais être un chrétien à partir de maintenant. » Alors, voyez-vous, vous avez fait votre confession. Commencez directement avec cela.
    Si vous êtes malade, dites : « Seigneur, Tu es mon Guérisseur. Si j’ai péché pour que ceci vienne sur moi, pardonne-moi. Seigneur, je Te prends à Ta Parole. Tu as dit que Tu me guérirais. Je le crois. Tu es le Grand Prêtre de ma confession. Maintenant je confesse que par Tes meurtrissures, je suis guéri. Merci, Seigneur. » Allez-y directement, voyez-vous. Alors Il peut agir là-dessus et commencer à vous guérir. Voyez-vous ce que je veux dire ?
    (Pourquoi ? 28 janvier 1961)

    Je ne fais que Te citer, en confessant ce que dit la Bible, que Tu es maintenant un Grand Prête de notre confession. Je confesse Ta Parole, que Tu es le Même hier, aujourd’hui et éternellement. Parle, Seigneur Dieu, et que les gens sachent que Tu as donné le Message, et non pas Ton serviteur. Accorde-le Seigneur. Nous remettons tout entre Tes mains, maintenant, je ne pourrais rien dire d’autre. Et une Parole de Toi sera plus que n’importe quel prédicateur pourrait prêcher en un million d’années.
    (Nous voudrions voir Jésus, 8 févier 1961)

    Voici une petite instruction que je pourrais donner aux malades. Vous pourriez venir ici, on pourrait prier pour vous, des Anges pourraient vous imposer les mains, et cela ne vous fera aucun bien à moins que vous le croyiez premièrement, l’acceptiez et le confessiez. Car Il est le Grand Prêtre de notre confession. Nous devons le confessez premièrement, avant qu’il puisse témoigner de cela devant Dieu. Car Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession de ce qu’Il a fait  pour nous. Donc, qu’est-ce que la guérison Divine ? Cela veut-il dire que nous devions attendre demain soir pour être guéris ? Non, monsieur. Dois-je venir à l’église ? Non, monsieur. Au moment où vous croyez Dieu et où vous l’acceptez comme  votre  propriété personnelle, c’est terminé au moment même. …/…
    Que vous soyez en train de descendre la rue ; où que vous soyez, dès l’instant où vous l’acceptez, c’est alors que vous avez fait demi-tour.
    (Abraham restauré, 11 février 1961)

    A moins de croire et d’accepter Sa grâce qui pardonne, nous sommes encore perdus. Peu importe la force avec laquelle nous pouvons crier, combien de temps nous pourrions rester, combien de temps nous pourrions nous passer de nourriture, jusqu’à ce  que dans nos cœurs… Dieu nous donne la révélation que Jésus-Christ est mort pour nous sauver, et que nous l’acceptions comme notre propriété personnelle. C’est quelque chose que Christ a fait pour moi, pour vous, et pour quiconque le croira. Alors vous êtes sauvé parce que vous l’avez cru et vous êtes guéri de la même manière. Souvent les gens disent : « J’aimerais sentir que je suis guéri. » Jésus n’a jamais dit : « L’as-tu senti ? » Il a dit : « L’as-tu cru ? » C’est ça. « Le crois-tu » Sentir n’a rien à voir avec cela ; c’est votre foi. Si j’avais agi comme je me sentais, j’aurais été dans un triste état bien des fois. Est-ce vrai, les frères ? Je pense que c’est ainsi pour nous tous. Mais ce n’est pas comment je me sens, c’est ce que je crois qu’Il a fait. Non pas mes sensations, c’est ma foi dans une œuvre achevée au Calvaire.
    (Expectatives, 8 mars 1961)

    Oh, Semences d’Abraham, ne voulez-vous pas recevoir le sacrifice de Jéhovah qui a été déchiré en deux au Calvaire ? Une partie se trouve là, au Trône de Dieu, à la droite, le Grand Prêtre intercédant sur votre confession. Le Saint-Esprit est ici pour veiller sur Sa Parole dans Son église. Croyez-la et recevez-la, voulez-vous ?*
    Croyez-vous qu’Il est le Grand Prêtre qui peut être touché par le sentiment de vos infirmités ? Alors priez, demandez-Lui et touchez-Le, dites-Lui : « Seigneur, Frère Branham, vient de nous dire que Tu es ici avec nous. Et je suis une partie de Toi, si Frère Branham est une partie de Toi. Frère Branham, Ton serviteur. Et maintenant, si Tu veux simplement parler par lui, comme Tu l’as fait avec Ton fils, Jésus. Il est Ton fils adopté. Je suis Ta fille adoptée, Ton fils adopté. Mais Tu nous as dit que ce serait un signe pour nous, au temps de la fin. »
    (Le fidèle Abraham, 12 mars 1961)

    O Dieu, nous confessons ce soir que nous ne sommes dignes d’aucune bénédiction et nous ne sommes pas dignes d’être appelés chrétiens, parce que cela vient du mot « comme Christ ». S’il Te plaît, pardonne-nous nos manières horribles.
    Nous savons que le plus grand péché et le seul péché qu’il y ait est le péché d’incrédulité. Peu importe la qualité de notre vie, notre fidèle assistance à l’église, la manière dont nous prêchons l’Evangile, si nous ne croyons pas chaque mot de la Parole de Dieu et si nous n’agissons pas en conséquence, nous sommes encore des pécheurs. Tu l’as dit. « Celui qui ne croit pas est déjà condamné. » Ainsi, je Te prie, Père, de nous donner la foi.
    (Il n’en était pas ainsi au commencement, 11 avril 1961)

    Jésus est un Grand Prêtre assis à la droite de Dieu pour intercéder sur notre confession. Je sais que la « King James » dit professer, et confesser est le même mot, mais une confession. Et il ne peut rien faire pour nous avant que vous le croyez, que vous l’acceptiez et confessiez que c’est juste. Alors Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur ce que vous confessez qu’Il a fait pour vous. C’est simplement aussi chair que ma connaissance de l’Evangile. C’est… franchement, c’est tout ce que je… C’est le seul Evangile qu’il y ait, c’est cela.
    (N’aie pas peur, 14 avril 1961)

    Jésus est à Sa main droite, avec Ses vêtements ensanglantés, faisant intercession pour notre profession, assis comme un Grand Prêtre sur un Trône. Les symptômes ne signifient rien pour nous alors. Dieu, l’a dit, et c’est tout.
    Jésus est assis là ce soir, pour faire valoir votre confession devant Dieu. Il est un Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession. Nous devons le croire et confesser que c’est ainsi, et ensuite Jésus peut agir là-dessus pour vous.
    (Un plus grand que Salomon est ici, 15 mai 1961)

    Venir ici à l’autel et prier toute la nuit ne nous ferait pas de bien à moins que vous ne croyez qu’Il vous pardonne ; ensuite vous vous levez. Alors, avec la foi que vous avez, c’est là où… Vous viviez dans la boue du péché. Maintenant, vous les jeunes convertis, vous croyez que vous êtes sauvés, n’est-ce pas ? Ensuite vous vous êtes élevés ici, vous vous êtes élevés un peu plus haut. Qu’est-ce qui a fait cela ? Votre foi, parce que vous croyez que vous êtes un chrétien maintenant, vous allez vivre au-dessus de cette chose-là maintenant. Voyez-vous ? Maintenant, si vous voulez vous élever un peu plus haut, ayez simplement plus de foi, parce que c’est sans limite, continuez simplement à avancer.
    (Le Message de grâce, 27 août 1961)

    Et maintenant, à la droite de Dieu, à la main droite de Sa puissance et majesté, Jésus règne. Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession quand nous acceptons Sa Parole, La croyons dans notre cœur ; nous La recevons là-dedans et nous ne nous rétractons pas, mais nous croyons exactement que cela va arriver. La véritable semence d’Abraham tiendra fermement à cette Parole. Peu importe le temps que cela prend, Il La fera s’accomplir. Il n’y a pas l’ombre d’un doute nulle part. il La fera s’accomplir.
    (Confirmation de la commission, 22 janvier 1962)

    L’union : dire la même chose que Dieu dit ! Et c’est la confession. Confesser signifie : « dire la même chose ». Et Il est le Grand Prêtre de notre confession, pour agir sur qu’Il a dit. Nous disons que c’est la Vérité, et Il agit là-dessus. Oh, là là ! Vous y voilà.
    (Unité, 11 février 1962)

    Confesser signifie « dire la même chose » : « Par ses meurtrissures, je suis guéri », voyez-vous, « maintenant, par Sa Vie, je suis sauvé. » Et maintenant nous devons d’abord le confesser, et Il est assis comme Médiateur, le seul Médiateur entre Dieu et les hommes, et Il est assis là pour intercéder sur ce que nous confessons qu’Il a fait. Quelle chose claire, solide !
    (Jéhovah Jiré, 1ère partie, 5 juillet 1962)

    Chaque péché dans le monde a été pardonné quand Christ est mort au Calvaire. Croyez-vous cela ? Il y a une expiation de sang sur l’autel pour les péchés du monde. Mais cela ne vous fera aucun bien à moins que vous ne l’acceptiez et le confessiez. Et Il ne peut pas agir avant que vous ne le disiez premièrement et que vous ne l’ayez accepté par la foi.
    Alors Il est le Grand Prêtre pour intercéder sur notre confession. Voyez-vous, Il ne peut pas bouger, Il est lié, Il ne peut rien faire à moins que vous ne l’acceptiez et le confessiez, et que vous le croyez de votre cœur. Alors cela Le touche, et ensuite Il peut agir là-dessus et intercéder pour vous.
    (Nous voudrions voir Jésus, 12 juillet 1962)

    Et ce soir, Il est encore le Grand Prêtre de notre confession, tout aussi grand qu’Il  l’a jamais été. Maintenant, nous devons nous laisser être Ses serviteurs. Il est le Cep, la source de Vie. Nous sommes les branches qui reçoivent cette Vie. Et la branche porte les fruits, pas le cep. Et maintenant, Christ agit au travers de Son Eglise. Et alors, si nous pouvons nous livrer nous-mêmes d’une telle manière que le Saint-Esprit puisse nous prendre complètement sous Son contrôle dans notre foi en Christ, Il fera la même chose, parce que c’est Christ.
    (L’influence d’un autre, 13 octobre 1962)

    O Dieu, donne-nous des hommes et des femmes avec une foi rude, qui ne regarderont pas aux symptômes ou à rien de ce que le Diable vous présente. Rendez-le lui ! Dites : « Je crois dans la résurrection de Jésus-Christ. Je crois dans Sa puissance toute suffisante. Je crois que Sa présence est ici maintenant pour me libérer de tout esclavage que Satan a mis sur moi.
    (Un plus grand que Salomon est ici, 5 juin 1963)

    Si vous avez purifié votre cœur, tout est confessé, vous l’avez déjà mis sur l’autel. Maintenant, Il est le Grand Prêtre de votre confession. Il ne peut vous aider que si vous le croyez. Si vous avez confessé vos péchés, si vous avez confessé vos torts, si vous avez tout fait, confessez que vous avez été trop négligent, quoi que ce soit que vous ayez confessé, maintenant cela est déposé sur l’autel du sacrifice. Maintenant posez vos mains sur Jésus et identifiez-vous. Identifiez-vous par la foi. Posez vos mains sur Jésus. Et alors, quand vous le faites, regardez à Lui et dites : « Je le reçois, Seigneur. Je Te crois maintenant. »
    (Conférences, 8 juin 1963)

    Il ne peut pas vous aider à moins que par la foi, vous l’acceptiez d’abord et que vous témoigniez publiquement qu’Il est votre Sauveur. Si vous témoignez de Lui ici… Si vous avez honte de Lui, Il aura honte de vous là. Si vous n’avez pas de honte de Lui ici, alors Il n’aura pas honte de vous là. Je pense, à la fin de cette réunion, que chacun de vous qui avez accepté Christ comme votre Sauveur, devriez venir à cette plate-forme pour dire ce que Dieu a fait dans votre cœur.
    (Appeler Jésus sur la scène, 4 août 1963)

    Un pécheur pourrait venir ici à l’autel étant jeune homme ou une jeune fille de quatorze ans, et on vous apporterait vos repas ici, et vous pourriez criez au Seigneur jusqu’à ce vous ayez quatre-vingt dix ans, vous ne seriez jamais sauvé. Mais le… Vous devez premièrement accepter ce qu’Il a fait pour vous, voyez-vous. Vous devez l’accepter vous-même. Alors, quand vous l’acceptez, alors Il est un Grand Prêtre, un Médiateur, pour intercéder sur votre confession de ce que vous croyez.
    (Appeler Jésus sur la scène, 19 mars 1964)

     

    omme J'ai été avec Moïse, 3 mai 1951

     



  • 26/02/2010
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